Cramer la caisse ou cramer le virus

Pendant que le gouvernement fait cramer la caisse, nous Gaullistes allons faire cramer le virus avec un simple petit radiateur d’appoint soufflant : nous allons faire passer les virus au travers de ses résistances bien rouges pour qu’ils brûlent en quelques centièmes de seconde. Coût de l’opération : 50€.

Eric Semmour est l’assurance-vie

Éric Zemmour, au premier tour de la Présidentielle, est l’assurance-vie de Valérie Pécresse pour qu’elle soit au deuxième tour de cette élection. Il faut qu’Éric Zemmour ait le nombre de parrainages suffisant pour être au premier tour.  C’est Éric Zemmour qui va permettre à la droite de Valérie Pécresse d’être Présidente de la France au deuxième tour.

Éric Zemmour sait qu’il ne sera pas Président de la République mais il aura mis Monsieur Macron en position de perdant.

Je sais que la politique est un calcul quantique dans lequel le nombre de voix ne se reporte pas mathématiquement.

Oui, il faut changer l’équipe qui dit et fait n’importe quoi avec un Président qui n’a pas de chance. Elle n’aura engendré que la peur. Il est vrai que qui engendre la peur devient le maître des âmes.

Cette équipe n’a pas compris que le médical n’était pas la seule solution  à la pandémie et, en faisant ouvrir les fenêtres, elle a enfin mis le pied dans des solutions mécaniques, mais un peu tard : un retard qui aura causé 130 000 morts.

Oui, la solution n’est pas chimique, ni biologique, elle est seulement mécanique en éradiquant le virus par de multiples moyens à notre disposition.

J’ose espérer que la nouvelle équipe prendra rapidement les dispositions nécessaires mais pour cela il faut qu’Éric Zemmour soit présent au premier tour.

Français, Française, l’État ne vous a rien donné

L’État français n’a fait que vous prêtez de l’argent en engendrant pour chaque ménage une dette supplémentaire de 30 000 €. C’est une dette d’État, garantie par l’État c’est-à-dire vous et moi  et qu’il nous faudra rembourser.

Je ne dis pas que ce n’était pas une bonne solution mais la dette de 3 000 milliards devra être remboursée dans les 15 à 20 ans qui viennent et ce sera inévitablement, soit par l’impôt, soit par une productivité accrue, une productivité qui permettra d’exporter nos produits et nos services.

Oui, je pense qu’il faudra faire un emprunt d’État de 1 500 milliards, uniquement avec l’argent des Français. C’est une urgence pour ne plus être entre les mains de prêteurs qui ne sont pas toujours des amis, d’où le danger de la dépendance financière.

Cet argent, les Français le possèdent ; la prudence impose que cet argent proviennent d’eux et non de pays qui, un jour, pourraient devenir nos ennemis, des pays qui peuvent nous imposer une nouvelle civilisation, une nouvelle religion, éventuellement un nouvel autoritarisme. C’est de notre liberté qu’il s’agit.

Les Français ont en réserve 4 600 milliards. Nous en parlerons dans une autre publication.

Jamais aucun gouvernement n’aura mis autant en péril la France car  toutes ces dépenses auraient pu être évitées en utilisant, dès le premier jour, les moyens d’éradication du virus.

Une fois encore, on a choisi la défensive au lieu de l’offensive et l’on voit les dégâts que cela a donnés.

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