Qui veut tuer Valérie ?

Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage.

Le meeting au Zénith : un flop, avez-vous dit ? Non, un message de raison d’autorité et de cœur.

L’élection présidentielle n’est pas une foire, ni un théâtre, ni une Cour de Justice. Valérie Pécresse serait-elle si forte, si dangereuse pour ses opposants ? Serait-elle si compétente, pour avoir tant de critiques ?

La campagne présidentielle ne doit pas être du vent et des contradictions mais la proposition de solutions crédibles, réalisables, dans l’intérêt général et pour la grandeur de la France. Elle ne doit pas tomber dans un corporatisme dévoyé.

Critiquer Valérie Pécresse, c’est critiquer toute une jeunesse qui apprend et qui espère, pour notre France, la troisième ou la quatrième place dans le monde.  C’est une jeunesse qui veut remonter dans l’échelle de nos valeurs.

Vociférer est souvent l’attitude de ceux qui veulent cacher l’essentiel qu’ils  ne parviennent pas à expliquer, tout simplement parce qu’ils ne savent pas planter les colonnes du temple que constitue la France. Ils parlent toujours de demi-mesures, que l’on a déjà subies depuis cinq ans, tant sur le plan social, qu’économique et sanitaire. Ils n’en parlent même pas, faute de compétences.

Valérie Pécresse est un puits de science et de connaissance avec un cœur grand comme le monde et elle possède une autorité qui ne se décrète pas mais qui est innée.

L’élection présidentielle  n’est pas un déroulé d’impostures, de trahisons et de vanités.

Valérie Pécresse tiendra l’étendard de la France dans le monde entier au plus haut niveau.

L’élection présidentielle, ce n’est pas les commentaires de presse où l’on fait couler la haine et les injures, voire la désespérance.

On ne brigue pas la présidence de la République pour avoir un poste bien payé mais pour donner aux Français l’espérance d’un avenir certain. La France n’a pas pris, à ce jour, le train de la mondialisation ; les dirigeants n’ont pas compris qu’on ne peut pas entrer dans un train dont la largeur des voies est différente d’un pays à l’autre.

Au-delà des compétences, une Présidente de la République se doit d’être visionnaire dans un monde où l’argent ne doit pas être  roi mais simplement un outil. Une présidente de la République se doit de placer l’homme au centre de toutes les décisions et toujours dans l’intérêt général.

C’est ce que représente aujourd’hui Valérie Pécresse avec force et détermination.

Le bien et le très bien

Le bien n’est pas le très bien et le très bien a ses limites.  

Le sang mêlé, c’est bien, c’est même très bien, mais il a ses limites. Le sang  mêlé ne doit pas aboutir à une autre civilisation mais simplement à compléter la nôtre avec toutes ses traditions.

Ce qui est valable en France, dans le cadre du sang mêlé, doit pouvoir l’être dans tous les autres pays tels que l’Algérie, le Maroc, le Sénégal, etc. Malheureusement le sang mêlé aboutit très souvent à des divorces déchirants car au-delà du très bien, c’est souvent le pire que l’on fait et l’on détruit l’édifice.

La France a eu une époque où les Espagnols, les Portugais, les Polonais, les Italiens, étaient arrivés, non pas pour imposer leurs lois mais pour travailler avec les lois françaises ; ils se sont parfaitement intégrés et le sang mêlé s’est répandu partout. Mais cette intégration avait été facilitée par le système judéo-chrétien de tous ces pays.

Vouloir imposer une autre religion, une autre civilisation, par un sang mêlé, ne peut aboutir qu’à une séparation.  Pour que l’intégration puisse se faire, il faut qu’on puisse vivre chez l’un et chez l’autre sans troubler l’un et l’autre par des différences qu’on ne peut combler.

Il faut aussi penser aux enfants qui pourraient naître et à qui on demandera de choisir leur religion. Il fut un temps où, dans le même courant religieux, on refusait les mariages entre protestants et catholiques. Mon père était protestant, ma mère était catholique. Quand ils se sont mariés, mon père s’est converti au catholicisme, par amour, et tous ses enfants ont pratiqué la religion catholique.

Bien sûr, on peut se tromper, et comme je parle de ma mère, je profite de l’occasion pour dire que la médecine peut se tromper, tout comme les religions et pour cause : la médecine avait prévenu mon père qu’il n’aurait pas d’enfants et c’est cette même médecine qui a accouché les quinze enfants de notre famille ! Il faut donc accepter, de temps à autre de se tromper, mais il ne faut surtout pas que cela devienne une généralité.

Le sang mêlé a donné à la France un plus durant des siècles. Mais, aujourd’hui, en voulant mêler les religions, en voulant imposer sa propre religion, qu’elle soit catholique au Maroc ou musulmane en France, cela ne peut se faire sans heurt.

Bien sûr que les musulmans sont des hommes comme les autres et qu’ils ont droit de vivre comme les autres, mais honnêtement, je préfère que ce soit dans leur pays. Entre les religions chrétiennes et  musulmanes, il y a un tel fossé qu’il sera bien difficile de le combler.

Si l’on veut vraiment aider les musulmans, et il faut le faire, il faut leur donner les moyens de vivre correctement dans leur pays et nous avons tout pour le faire. Mais l’on a trop souvent peur d’aider les autres parce que, bien souvent, ce sont ceux qu’on a le plus aidés que l’on retrouve en travers de notre chemin. On voit bien d’ailleurs qu’en France, l’intégration se fait mal entre musulmans et chrétiens, ce qui n’était pas le cas pour les autres pays judéo-chrétiens.

Quand les politiques accepteront-ils de reconnaître leurs erreurs !

La tolérance, oui, le laxisme, non.

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