Le coût du virus et de la fatalité

Voilà deux virus qu’il faut soigner mais, beaucoup mieux encore, éradiquer, en cherchant la cause. On ne se débarrassera jamais de nos habitudes et de la fatalité sans courage mais aussi sans intérêt.

Nous sommes entrés dans une civilisation qui va à la vitesse de l’éclair. Nos habitudes et la fatalisé sont des barrages au développement de l’économie mais aussi de notre pouvoir d’achat.

Nous n’aurons pas de changement sans énormément de courage. Mais nous avons tellement l’habitude de refuser tout changement.

Ce qui est grave, c’est que nous supportons les dérives occasionnées par ces deux virus.

Un changement contrôlé est nécessaire dans le cadre d’une mondialisation nouvelle. Nous allons franchir un nouveau monde en essayant de vaincre l‘incrédulité face aux techniques et découvertes exceptionnelles.

C’est le plus simple qui gagnera.  Tout ce qui est compliqué a peu de chance d’aboutir. De plus, si elles aboutissent, contraintes ou votées, leur application sera à nouveau un problème.

On dit toujours « ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement ». On ferait bien de se servir de cette maxime afin de réduire le coût de nos habitudes et de la fatalité en essayant, pour une fois, d’appliquer le bon sens. Et la solution est de l’autre côté de la route, n’est-ce pas ? Faut-il encore essayer de traverser la route.

L’habitude et la fatalité ont un coût incalculable que je me garderai bien d’évoquer mais c’est la suppression des dérivés à éradiquer qui rapportera beaucoup.

Il est curieux qu’à chaque fois, on revienne au même leitmotiv. Il faut vivre en se protégeant et non survivre en subissant.

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