Notre président

Il ne suffit pas d’être l’élu du peuple pour le rendre heureux. Être bardé de diplômes n’est pas suffisant. Être l’élu d’un peuple est une lourde responsabilité. Faut-il encore être assez fort, assez convaincant, assez visionnaire, pour simplifier ce qui existe, juste ou pas juste.

On peut remplacer ce qui existe mais cela nécessite beaucoup de bon sens, beaucoup de créations et non une simple manipulation.

Il faut découvrir ce qui est plus juste et plus efficace pour tous. Ce n’est pas simple, loin s’en faut.

Pour ce qui est plus juste et plus efficace, le chercher dans les textes actuels ne me paraît pas réaliste. Et, dans les conditions actuelles d’une mondialisation,  il nous faudra rentrer dans un monde nouveau.

Il faut accompagner toute réforme par une solution qu’il faut imaginer ou par une découverte qui apportera les moyens de la réforme sans accroître la dette. Mais plus encore, Il faut une découverte qui conduira le peuple à plus de justice, à plus de vie, et plus longtemps.

La valse des milliards ne permettra ces réformes que si elles proviennent du résultat du travail et non en chargeant le travail.

Ce n’est pas le cas aujourd’hui. Les réformes qui sont proposées ne feront qu’accroître la dette ; autrement dit, on donne d’une main ce que l’on reprend de l’autre et elles n’ont aucune chance de réussir.

C’est valable pour l’économie mais c’est aussi valable pour la santé car aujourd’hui la santé coûte trop cher à l’État et les retraites ne répondent plus au pouvoir d’achat.

Rien ne se fera sans l’application d’une découverte ou d’une technique qui réduira les dépenses sans porter atteinte aux avantages sociaux.

Notre Président possède des qualités remarquables mais beaucoup plus en ce qui concerne les affaires extérieures du pays que l’intérieur. En France, il est sous l’influence des habitudes et de la fatalité. Ce sont deux virus qu’il faudra éradiquer.

On a pris l’habitude d’accepter des hécatombes. On a pris l’habitude d’attendre et d’accroître la dette. Une réforme ne peut se faire que si elle apporte un renouveau et surtout les moyens de ce renouveau.

Monsieur le Président,  par ma découverte je vous ai proposé 500 milliards en plus, chaque année, dans vos caisses.

Prouvez-le me direz-vous. Quand vous le voudrez, Monsieur le Président.

On ne redonnera pas à la France la place qu’elle avait dans le monde en allant sur la Lune mais en donnant au peuple une espérance de vie dans un nouveau monde sans maladies graves et sans remise en forme de notre énergie physique, celle que l’on a dès sa naissance et qu’on laisse se détériorer au cours des années.

Non, Monsieur le Président, je ne suis pas un charlatan. C’est du concret.

Faire de la France un peuple à la pointe des découvertes, les plus simples et les plus réformatrices : du vent ???

Et oui, exactement, on va s’en protéger mais ce sera des vents invisibles et monstrueux auxquels personne n’a pensé.

Arrêtons les discours et agissons.

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