Lazare, lève-toi et marche

C’est par ces mots qu’un jeune homme de 25 ans, il y a deux mille ans, est venu dire au monde qu’un souffle naturel pouvait redonner la vie.

Par conséquent, on a appelé cela un miracle, un effet surnaturel. Déjà à l’époque, il voulait simplement dire que la nature pouvait réparer toutes ses erreurs, y compris la mort, qui n’est qu’une séquence de vie.

Ce que je vous propose aujourd’hui, c’est ce que proposait ce jeune homme que l’on a appelé le Sauveur. Dans l’histoire, des phénomènes identiques se sont produits par milliers et à chaque fois c’était un souffle de la nature.

De plus, la vie peut être démontée comme la mer mais c’est à l’homme de tenir le gouvernail pour rentrer au port.

C’est aussi l’intelligence de l’homme qui doit utiliser la nature, parfois en la régulant, parfois en s’en servant.

Le jeune homme en question était un homme qui avait voulu se faire homme pour crier au monde la nécessité de protéger la nature et de s’en servir. La furie de la nature a toujours ses antidotes. Il est vrai qu’à l’époque la médecine en était encore à ses balbutiements. Les médecins se servaient déjà de la  nature et des moyens naturels. C’est pourquoi, l’intelligence et le bon sens appartiennent à l’homme.

La médecine n’a pas toujours apporté des solutions, elle a souvent affaibli l’homme.

La force naturelle des hommes d‘aujourd’hui n’est plus du tout la même qu’il y a deux mille ans. Si la médecine a des bons côtés, il est prudent qu’elle ne dérive pas.

Quand on constate aujourd’hui la multitude de médicaments qui sont sur le marché, on pourrait croire qu’il y ait tous les jours des miracles. Force est de constater qu’on n’est pas parvenu à mettre un terme au cancer. Et encore moins aujourd’hui aux virus, parce qu’on a défié la nature.

La chaleur est un élément de la nature. La régulation est une part de l’intelligence de l’homme. Parler toujours du surnaturel, alors que le naturel est à notre porte à toute heure et ne rien faire, est un crime.

En conclusion, nos dirigeants passent toujours à côté de l’essentiel. La médecine croit être plus forte que la  nature. Elle ne fait que l’affaiblir et elle n’a d’efficacité que lorsqu’elle emploie des produits naturels telle que la pénicilline à l’origine. La force du naturel On doit protéger et utiliser la force du naturel à bon escient.

Oui Lazare, lève-toi et marche !

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