Mettre notre vie entre les mains de l’argent et de la spéculation, c’est se donner la mort, physiquement et économiquement.
Les éléments de la vie se régénèrent sans cesse. On est sur terre pour vivre et non pas pour mourir. Accepter la mort est un échec, une insulte à la vie.
La mort n’est pas inéluctable. Le faisceau de la vie, avec sa pensée, son intelligence, se situe entre l’immensément grand et l’infiniment petit. C’est à notre intelligence exceptionnelle d’assurer sa protection, sa défense, face à l’occupant, face à la dérégulation de la nature, c’est-à-dire éviter le trop chaud, le trop froid et les pressions atmosphériques trop importantes.
La spéculation fait table rase de la vie et de l’économie. Refuser la recherche des causes et des solutions naturelles que nous voyons, que nous connaissons par l’évidence, par le bon sens, par l’intelligence, est une infamie envers la vie.
Oui, le faisceau de la vie est ténu mais aussi très fort, et le protéger des phénomènes extérieurs ne peut résulter que du travail de l’ingénieur ou de l’architecte. Ce n’est pas le travail du médecin qui n’est là que pour soigner.
Trouver des médicaments pour réduire la souffrance est une excellente chose mais mieux vaut ne pas avoir à souffrir, en tuant l’occupant ou en régulant la nature.