L’échec relatif de Monsieur Macron et l’espérance de Valérie Pécresse

Monsieur Macron a créé et développé la peur. Monsieur Macron est comme l’était le curé du village autrefois qui voulait dominer en agissant sur nos consciences.

Pour Monsieur le curé, c’était l’évangile qui dictait sa loi, pour Monsieur Macron, c’est le monde scientifique qui veut lui imposer sa loi.

Les Français avaient un grand respect du curé du village. Les Français ont un grand respect de la fonction de Président de la République. Ils ont un grand respect pour les lois de la République et de la civilisation. Il va falloir bouleverser les choses et créer l’espérance pour tous, simplement par la vie.

Ce ne sont, ni les fonctionnaires, ni les militaires, qui ne doivent en aucun cas dicter leurs lois. Ils sont là pour exécuter et non pour freiner l’application des décisions. Mais il ne faut tout de même pas s’en servir comme tête de turc : ce serait un peu trop facile. Non, il n’y a pas trop de fonctionnaires ; il suffit de les placer où il faut. Il faut que l’administration soit au service de l’exécutif.

Aujourd’hui, c’est l’argent, ce sont les dérives des scientifiques, ce sont aussi les dérives de la nature, qui nous imposent leurs solutions pour un plat de lentilles…

Mais il ne peut pas y avoir de solution sans avoir détecté les causes. Faut-il encore accepter les causes de nos problèmes, qu’ils soient sanitaires ou économiques.

On veut tricher sans cesse avec la réalité, on met des doutes sur tout y compris sur des découvertes qui pourtant réguleraient notre vie. Ce n’est pas l’artificiel qui peut résoudre les problèmes ; il peut, à la limite, être un outil et rien de plus.

La France a tout pour reprendre le chemin de la grandeur. Ce pays des lumières a toujours su rebondir mais il va falloir oser casser les codes qui l’enchaînent et ce sera la mission de Valérie Pécresse si elle est élue Présidente de la République.

Oui, ce sera une autre vie dans un nouveau monde ou, plus exactement, dans le monde de la vie que l’on a voulu détruire.

Ce qui est paradoxale, c’est que nous savons comment faire et avec quoi le faire. On se fait du mal par orgueil, par vanité, en refusant les lois de la nature ou, plus exactement, les lois de la vie qui a donné à la nature ses dérives, mais aussi ses antidotes.

Dire qu’on ne fait rien sans l’argent, c’est refuser de faire avec ce que l’on a de plus précieux, c’est à dire la vie et les moyens de la protéger.

Quand on veut influer sur la mondialisation

Pour utiliser la mondialisation et l’Europe, il est nécessaire de pouvoir les réguler.

Il ne faut pas être dans le passé d’un système monopolistique mais dans le futur d’un nouveau monde avec  sa petite musique régulatrice. Ce ne sera pas facile mais ce n’est pas mission impossible.

Cela paraît très simple, n’est-ce pas ?, de neutraliser les causes, mais faut-il encore le vouloir. Vouloir stopper les dérives sans apporter les solutions est illusoire.

Si l’Europe a été conçue pour apporter un plus à tous ses habitants, alors c’est un échec. Toutefois, l’Europe a été conçue pour assurer une force de défense et protéger notre liberté.

La mondialisation, quant à elle,  est l’œuvre de la spéculation. Les Français ont adopté l’Europe, spécialement la jeunesse, pour pouvoir aller et venir dans un nouvel espace.

Dans un espace où, cependant,  rien n’est fait pour unifier, pour réguler. Il suffit de regarder la vie des pays de l’Est pour comprendre que l’Europe n’a pas encore fait son travail.

Il en est de même pour la mondialisation. La mondialisation devait nous apporter l’espérance d’une vie meilleure. A ce jour, elle ne nous a apporté qu’une déchéance de l ‘homme. Dans la  mondialisation, l’homme n’est plus au centre des décisions. Il n’y a que le profit et l’argent, peu importe les dégâts que cela peut produire. La concurrence fait rage car les conditions de vie sont différentes d’un pays à l’autre, car les systèmes économiques sont différents.

Là encore, vouloir accepter d’autres civilisations posera, tôt ou tard, un problème de vie et de liberté auxquelles nous sommes très attachés.

Dans la mondialisation, il y a l’internet qui a ses bons et ses mauvais côtés, qui a ses espoirs et malheureusement ses contradictions. On a voulu remplacer l’homme par des machines ou même par l’intelligence artificielle sans en limiter les contours.

On a oublié aussi que la nature était  l’ennemi de l’homme et on la considère toujours comme une déesse

Si nous ne mettons pas l’homme au centre des décisions, nous irons nécessairement dans le mur. Un mur que l’on veut construire par ci, par-là, pour empêcher de véritables invasions. Parce qu’on n‘a pas fait ce qu’il fallait dans le monde, parce qu’on n’a pas fait ce qu’il fallait pour ces peuples qui sont soumis à d’autres règles naturelles tels que les déserts. On se croit être au-dessus de tout cela mais les événements nous rattrapent très vite. C’est peut-être aussi parce qu’on a considéré ces peuples comme des sous-hommes, parce qu’on avait peut-être pris une longueur d’avance qu’on n’a pas su partager et dont on paie aujourd’hui l’addition.

La France, pays des lumières, n’a pas toujours fait ce qu’elle devait. Tout du moins elle n’a pas montré le chemin qu’il fallait suivre. Elle s’est laissé embourber dans un système de spéculations et de monopoles, quitte à affamer ces populations qu’on voudrait appeler des sous-hommes.

Dire qu’aujourd’hui ces peuples ne sont pas considérés comme des sous-hommes est une hérésie.

On ne supprime pas si facilement la loi de l’argent mais aussi de la vie, tout court. Il n’y a pas si longtemps qu’on enchaînait ces sous-hommes. Et aujourd’hui, ce ne sont plus des chaînes, ce sont des meurtriers qui laissent mourir ces civilisations, même en leur ayant donné l’indépendance. L’indépendance ne suffit pas pour protéger la liberté ; on a oublié de leur donner les moyens de vivre.

De toute manière, rien n’est fait, ni au moment qu’il faut, ni où il le faut. Dans le monde, il fallait apporter le soutien technologique aux populations qui en sont dépourvues.

Et en France, il va bien falloir trouver la solution contre les virus et les cancers, là encore, on refuse de s’attaquer aux causes, comme d’ailleurs dans les autres pays dits en voie de développement.

Et pourtant, aujourd’hui on commence à comprendre, dans le cadre d’un réchauffement climatique, que ce n’est pas en France qu’il faut agir mais plutôt en Afrique. Mais le monde de l’argent fera tout ce qui est en son pouvoir pour freiner le développement de ces peuples  et les soumettre à sa botte.

Tous ces pays-là, on a su les trouver pour en faire de la chair à canon, il n’y a pas si longtemps de cela, pour défendre notre liberté et pas la leur.

Tout ceci fait partie du renouveau qui sera nécessaire pour réguler la mondialisation et redonner à l’Europe ce pourquoi elle a été conçue.

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