La cause

Le bon sens voudrait déjà qu’on évite d’être la cause.

La cause, elle peut venir de soi, du monde médical, du monde politique, du monde scientifique ou du monde philosophique.

 Ce qui est terrible, c’est que l’on rejette toujours la cause sur l’autre. C’est un peu facile, non ?

Aujourd’hui, tout ce petit monde se contente de l’évidence mais ils n’en sont pas les auteurs. Combien de fois ai-je entendu : on a tout essayé mais on n’y est pas arrivé. Et ce n’est pas le moindre des personnages qui l’a dit, c’était Monsieur Mitterrand. Peut-on se contenter d’une telle parole. Quel échec !

On ne gagnera pas la guerre de cette manière. On ne gagne pas la guerre sans une stratégie, sans un objectif, sans bon sens. Les armes, c’est bien, l’évidence, c’est tout autre chose.

Aujourd’hui, les politiques ont la main qui tremble en permanence, ils ont tous la tremblote. Demain, il va encore y avoir la grippe. Quelle est la solution ? Le vaccin protège à 50, voire 60 %, et l’autre pourcentage ? Est-il condamné à mourir ou à souffrir ?

Pourquoi ne pas accepter ce qui n’est pas l’évidence pour le monde médical mais qui sera l’évidence pour ceux qui échapperont à la grippe et à la COVID-19, de même? Ne croyez-vous pas qu’on puisse au moins essayer et non attendre le résultat d’éventuels résultats cliniques ? Il sera peut-être un peu trop tard.

Je ne comprends pas quand on n’a rien, que l’on ne puisse pas au moins essayer pour avoir un minimum de solutions. Ce que je propose ne peut entraîner aucune séquelle ni aucun risque d’en avoir.

Acceptez de réguler les pressions atmosphériques en ce qui concerne les cancers. Acceptez d’utiliser les rayons ultraviolets contre les virus. Il n’y aura aucune conséquence grave pour le corps humain.

Attendre des essais cliniques qui vont durer des années, c’est accepter des centaines de milliers de morts. C’est cela notre guerre ? 

Messieurs les dirigeants, fuyez les gardiens dont vous êtes l’otage ; il est de votre devoir de prisonniers de vous évader de ce cénacle scientifique.

Depuis cent ans, rien, absolument rien de concret, n’a été trouvé. On a soigné mais on n’a pas éradiqué.

On va attendre qu’il n’y ait plus de lampes à ultraviolets sur le marché, comme ce fut le cas pour les masques. Il en faudra 300 millions pour demain matin comme pour les masques.

J’ai 81 ans et je n’ai nullement l’intention de mourir par défaut et je ferai tout ce qui en  mon pouvoir pour que tous les hommes pensent de la même manière.

Non, Messieurs, vous ne ferez pas de moi un prisonnier. Etre un bon soldat, c’est savoir d’évader quand on est prisonnier, c’est même un devoir. Nous sommes devenus des larves qui ne réagissent même pas et qui attendent la mort.

On connaît aujourd’hui les causes de tout ce qui risque d’entraîner à la mort et on reste là inactif ; c’est tout de même effrayant. Et en économie, c’est encore pire. On crée la dette, on vit de tout que ce qu’il reste dans les fonds de tiroir. On verse de l’argent à fonds perdus sans apporter la moindre solution.

Quand on connaît les causes, on doit les détruire : c’est cela la guerre et si l’on veut éviter la guerre, il faut éviter les causes.

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