Aujourd’hui on ne parle que par milliers de milliards.
On ne parle que par millions de chômeurs dont beaucoup de jeunes. On ne parle que par dizaines de milliers d’entreprises qui vont fermer et qui entraîneront des centaines de milliers de chômeurs.
On ne parle plus de milliers de morts du Covid-19 mais on ne parle plus que de centaines de milliers de morts.
On ne parle plus d’une perte de pouvoir d’achat de 1 à 2 % mais de 10 %. On ne parle plus d’un PIB qui perd quelques points mais on parle de dizaines de points. On ne parle plus de la consommation des ménages en points mais en dizaines de points.
On est passé du réel à l’inimaginable. On est passé, pour la dette de la France, de 2 000 milliards à 3 000 milliards, et encore, nous verrons en fin d’année.
Et tout ceci, parce qu’on n’a pas voulu stopper ou faire stopper dès le départ le Covid-19 et pourtant nous savions ce qu’il fallait faire pour l’éradiquer.
Au lieu de cela, on a fait inhaler aux patients de l’oxygène à 18° alors qu’on savait parfaitement qu’il fallait porter la température de l’oxygène à 40°. C’était la seule solution à défaut de remèdes, à défaut de vaccin. On a vraiment perdu les pédales.
Aujourd’hui, on compte près de 300 000 morts dans le monde. Aujourd’hui, l’Académie de Médecine reconnaît que la chaleur était le seul remède après avoir tant combattu ce que je lui avais dit et écrit.
La crise du Covid-19 se termine ; elle aura laissé derrière elle une traînée de morts. Mais serait-ce suffisant pour que l’Académie de Médecine accepte la cause du cancer et des grandes maladies qui n’est rien d’autre que les variations de pressions atmosphériques ? Pas si sûr… le cancer rapporte gros et on s’y est habitué.
Eh bien, moi, je ne m’y habitue pas et je ferai ce qui est nécessaire pour éradiquer la cause que j’ai découverte, peut-être par hasard, mais réelle. Dans la vie il faut toujours avoir une part de chance et j’estime avoir eu beaucoup de chance et je continue à en avoir.
Il serait souhaitable que l’Académie de Médecine ne vienne pas toujours après la bataille pour reconnaitre l’évidence. Je pense que c’est par orgueil car l’idée ne vient pas d’elle. Mais en refusant de reconnaître la cause du cancer, elle devient responsable de 720 morts par jour en France.
Oh, bien sûr, on pourra toujours dire que je n’ai pas fait d’essais cliniques mais peut-on à ce point nier l’évidence ? Le minimum, c’est au moins d’essayer, le minimum c’est au moins de proposer et que propose-t-on aujourd’hui pour le cancer ? Peut-être beaucoup de choses mais il fait toujours autant de morts.
Le moment est venu pourtant de faire des économies massives dans le domaine de la Sécurité Sociale et la seule solution est d’éviter les maladies qui coûtent tout de même près de 300 milliards chaque année. Et là, on ne parle que d’argent alors que les morts auraient peut-être bien voulu vivre et ne pas avoir eu à souffrir…
J’ai un peu l’impression que l’on marche sur la tête. On met en place des protocoles, des normes, qui mettent des années pour évoluer, qui posent des problèmes à tout le monde, y compris aux producteurs et ces normes qui ne sont pas qu’européennes sont aussi françaises et tout aussi inutiles.
On ne sortira pas de cette crise économique en continuant à faire du n’importe quoi en évoquant les bonnes pratiques. N’est-ce pas plutôt pour se faire de l’argent ? Alors, on lance des anathèmes envers tous ceux qui n’ont que pour espérance de sauver la vie de leurs congénères.
Non, le système d’aujourd’hui doit être proscrit. Le compliqué, c’est terminé, le simple doit prendre place sur l’échiquier médical et économique.
Plus grave encore, toutes ces prétendues précautions paralysent les politiques et les assujettissent aux scientifiques. Il n’est plus possible d’agir et de prendre des solutions qui vont à l’encontre de la vie des Français.
Je n’ai aucun doute et je ne me fais aucune illusion. J’entends déjà siffler dans les couloirs : quel est cet intrus, quel est cet ignorant qui ose dire ce qui est nécessaire pour la santé et pour l’économie ? Le problème est de savoir qui est l’ignorant et qui est l’incapable.