De Gaulle, Pétain, Laval

Les faits : Se dire gaulliste et pratiquer la politique de Pétain, perpétuellement sur la défensive.

Oser s’appeler Leclerc et pratiquer la politique des monopoles est scandaleux.

Serait-ce une maladie du siècle ? Se servir d’un nom et refuser ses idées, ses valeurs, son concept. Serait-ce la nouvelle idéologie ? En toile de fond de tout ceci, il y a l’argent-toi et les Français qui ont droit à la dette.

Le résultat :La morale est passée à la trappe mais la morale, l’honneur, prendront toujours leur revanche comme la nature qui est toujours la plus forte, ce qui n’empêche pas de la réguler par le génie de l’homme. Mais il faut la réguler de manière loyale, sans excès.

Non : on ne peut se servir de noms prestigieux pour mentir et tromper les Français et les familles françaises.

Le Français n’est pas malheureux mais il ne veut pas perdre sa liberté, son bon sens, son avenir et celui de ses enfants.

Aujourd’hui, toute création, toute innovation, toute recherche, toute découverte, est soumise à la règle de la vérité et des trois paliers nécessaires pour y parvenir. Ce sera d’abord la moquerie, puis l’opposition ou le combat et l’on débouchera sur l’évidence, sur la vérité.

Tous ces gens qui ont créé un nom qui restera dans l’histoire, ont subi ces trois paliers : l’idée, la guerre et la victoire.

Aujourd’hui, par paresse, par peur du risque, les usurpateurs ont choisi la soumission. On ne gagne jamais sans combattre, sans prendre de risque, et ne jamais prendre de risque est la pire des choses.

Se soumettre est honteux. Vivre avec est honteux. Ne pas combattre l’adversité est honteux, et profiter du  nom de de Gaulle avec l’image du bon sens, de la vérité, de l’avenir glorieux, n’est qu’une politique pétainiste.

Même à armes égales, il convient de se battre sans laisser un pouce de terrain à l’ennemi, ennemi qui peut être sanitaire ou simplement territorial.

Utiliser le nom de de Gaulle ou encore celui de Leclerc sans prendre de risque ne peut jamais aboutir.

Distribuer de l’argent que l’on n’a pas n’est pas raisonnable. On galvaude la valeur du travail.

On a la chance d’être français, d’avoir des gens prestigieux qui ont donné à la France sa puissance et aujourd’hui, toujours pour de bonnes raisons, le risque et le combat ont été écartés ; on préfère subir, on ne veut plus combattre.

Mais sachons bien que rien, absolument rien, ne se fera sans mener le combat. Attendre que le soleil vienne tout arranger est un rêve. Attendre les vaccins pour mieux nous empoisonner, n’est pas sérieux. Il n’y a pas une personne au monde qui puisse penser que le vaccin soit une solution au malheur des Français.

La mondialisation fait des ravages dans l’économie mais aussi dans la vie de chaque jour des Français et des Européens également.

C’est une fuite en avant, allant toujours vers le moins cher mais un moins cher fallacieux, un moins cher sans garantie, sans qualité, sans durabilité. Partout, il faut toujours combattre pour le plus et pas vers le moins.

Non, Monsieur le Président, non, Monsieur le Premier Ministre, ne trompez pas les Français avec une politique pétainiste. Vous n’avez pas droit de refuser le combat.

Général de Gaulle, Pétain, Laval

1 réflexion au sujet de « De Gaulle, Pétain, Laval »

  1. Monsieur ….Michel…..!
    Bravo pour vos pensées …. superbement exprimées dans votre article ! Je vous félicite pour votre éthique qui n’a changé en rien depuis des décennies que je vous connais !

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