Une crise sanitaire

Une crise qui aura eu au moins pour mérite d’ouvrir la boîte de Pandore du monde médical.

Dans cette boîte s’enfermait le monopole médical et un service de recherche spolié par l’argent des laboratoires.

On a cherché pour soigner les humains sans en chercher la cause ; on a cherché et l’on n’a rien trouvé de concret ou tout du moins sans effet secondaire. Heureusement, au fond de la boîte, bien caché, il y avait l’espérance d’une découverte exceptionnelle applicable sans l’autorisation du monde médical.

C’est comme une brouette, c’est simple mais fallait-il encore l’imaginer. Et cette brouette a apporté les moyens de sauver des centaines de milliers de vie et de créer un monde en pleine forme qui bouscule les habitudes, les protocoles compliqués, les produits complexes. Cette brouette contient  des découvertes qui mettent à mal le fonds de commerce de l’industrie médicale et pharmaceutique.

L’ouverture de cette boîte de Pandore a permis de mettre au grand jour l’obsolescence du système de recherche en France.

L’Etat est quelque peu responsable ; il s’appuie sur des organismes qui ne sont plus à l’écoute du mal. Ce sont des marchands de tapis. On veut soigner avant même d’avoir trouvé la cause.

Si c’est cela le serment d’Hippocrate, le serment de protéger les vies, il y a un fossé qui s’est créé par ce monopole qui en a fait un métier lucratif dans un marché fourre-tout.

L’Etat se doit d’y apporter remède.

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