Etre à l’abri des virus et des cancers, être en pleine forme toute sa vie par une simple régulation des pressions atmosphériques et par un tueur de virus, c’est 30 % de productivité supplémentaire. C’est une vie de famille nouvelle ; la fatigue aura disparu.
Etre en pleine forme, c’est redonner à chacun la possibilité d’avoir un pouvoir d’achat accru. Etre en pleine forme, ne pas avoir de souci d’argent : que de disputes évitées. Etre en pleine forme empêche tout désespoir et l’utilisation de stupéfiants ou de drogues.
Vraiment dormir, sans soucis familiaux, sans problèmes d’argent, ce sont des heures de sommeil en toute sérénité et plénitude. En fait, c’est vivre dans un nouveau monde.
Alors pourquoi ne pas utiliser ces petits dispositifs qui nous mettent à l’abri et qui cassent l’épée de Damoclès qui plane sur nous.
O combien je peux comprendre que tous ceux qui sont dans les laboratoires, qui cherchent et qui ne trouvent pas, puissent être quelque peu troublés. Mais la recherche n’est pas le privilège des laboratoires. Il y a des millions de citoyens qui trouvent, tous les jours, des solutions à leurs problèmes. Bien sûr on dira, ce sont des méthodes de bonne-femme. Peut-être, mais jusqu’ici personne ne les a appliquées. Alors, on peut essayer. Et c’est un résultat positif à 99 %.
On sait que la vie est un combat perpétuel. De temps en temps, la nature vous met dans la condition d’un étau qui vous enserre. Elle apporte aussi, de temps à autres, des virus, des maladies. C’est la vie ! Alors, il faut mener le combat, il faut gagner sa liberté de vivre.
La mondialisation a rendu la vie plus difficile. La mondialisation a oublié la simplicité. Il est vrai qu’il est plus difficile de trouver simple que compliqué.
J’avais un professeur de dessin qui, un jour, a dessiné un cône au tableau et qui l’a coupé en deux ; il nous a demandé de représenter les vues de côté, de face et du dessus. C’était un simple cône mais il n’était pas si simple de représenter ces différentes vues. Et lui, il l’a fait en quelques secondes. C‘était si simple mais fallait-il encore le savoir… Ils ne sont pas si fréquents les professeurs qui recherchent toujours la simplicité. On enseigne trop souvent le compliqué…