Monsieur le président, vous avez dit : « Le bon chemin »

O combien je voudrais vous croire.

Le Covid-19 et la grippe sont partis en cavale : on ne les a pas tués, ni éradiqués. Ils reviendront dans deux, trois, quatre ou cinq ans… sous un autre visage. On ne les reconnaîtra plus, on les aura oubliés.

Tester n’est pas éradiquer : ce n’est qu’un constat. Oui, la crise est terminée. C’est fini, il n’y aura pas de deuxième vague et tout le monde peut retourner au travail, sans masque : il ne sert plus à rien. Quelques jours de soleil auront suffi pour faire le ménage.

Le confinement, par défaut de masques, est-il la vraie solution ? Le vaccin ? : un jour peut-être mais la prochaine fois, ce vaccin sera-t-il le bon ?  C’est beaucoup moins sûr car la prochaine fois, ce ne sera pas le même virus, il aura muté.

La prévention est nécessaire mais le vaccin  n’est pas certain. Alors que nous reste-il à faire ? Aussi, dès aujourd’hui, il faut se dire qu’à un phénomène naturel, il faudra apporter une solution naturelle et  il  ne faudra pas attendre qu’il soit dans notre corps ; il faut prévoir des embuscades tout au long de son chemin.

Mais, comme par hasard, il ne reviendra qu’en période de froid. Alors, pour s’en protéger, il n’y a qu’une seule vraie solution : le tuer par la chaleur et les rayons ultraviolets avant qu’il ne pénètre dans notre corps. Et si, par hasard, il y parvient, il faudra encore utiliser des embuscades naturelles.

Le virus, c’est comme les pucerons, il faut les tuer avant qu’ils n’arrivent et avant qu’ils ne dévorent l’arbre ou le légume.

Contrairement à tout ce que nous disent les grands scientifiques, trop occupés à fabriquer des médicaments, la chaleur et les ultraviolets sont les meilleurs médicaments pour mettre fin à une pandémie et surtout, pour éviter la pandémie, il faut recréer des espaces où l’on se croirait au soleil.

Il en est de même pour les cancers et les grandes maladies, nous en connaissons la cause ; il faut donc réguler la cause.

On nous apprend qu’il y a actuellement en Pologne un  problème de grippe porcine. Elle est à la frontière de l’Allemagne. A-t-on informé nos éleveurs de porcs ? A-t-on mis en place l’indispensable ? Je ne pense pas que l’on pourra mettre des masques aux porcs… Il vaut peut-être mieux arrêter le virus sur son chemin.

L’homme ne sera pas attaqué mais les animaux ont aussi leurs droits.

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