L’or rouge

Plus de 500 milliards par an pour les caisses de l’Etat.

L’or rouge pourra-t-il éviter une crise économique ? Bien sûr que oui si la sagesse l’emporte sur la crédulité.

Mon combat pour la vie avec la porte ouverte à un nouveau monde.Un miracle ! Sûrement pas, c’est le fruit du bon sens et du constat.

Y a-t-il quelqu’un qui propose mieux ? Immédiatement et sans bourse délier ?

J’accepterai toutes les critiques si l’on propose mieux, sans souffrance, sans fatigue et avec un résultat économique certain.

Je ne suis pas Dieu mais je suis un homme qui protège d’un naturel débridé qui provoque une sélection au profit de l’Ankou.

On a donné l’intelligence à l’homme pour construire, pour prévoir, pour se protéger de l’invisible.

Dans les camps de concentration, on a tué avec l’invisible. « Non, plus jamais cela » entend-on chaque jour, au cours des discours et pourtant, l’invisible dont je parle est mondial et nous détruit chaque jour un peu plus, depuis la naissance.

Donnez-moi au moins le bénéfice du constat du bon sens naturel. En régulant l’invisible, ce sera pendant 30 ans, 26 millions de morts de moins par an dans le monde et en France c’est 250 000 morts par l‘invisible, chaque année.  Et plus encore, depuis le premier jour, l’invisible entraîne la fatigue par la neutralisation de notre énergie et ce, pendant toute notre vie.

Oui, c’est vrai. Je suis l’homme de la concurrence. J’aimerais que l’on ose me dire : dans quel intérêt ? Simplement celui de vivre avec un pouvoir d’achat accru,  une forme revigorée. Etre en pleine forme toute la vie.

Dans le temps, à l’école, on donnait le bonnet d’âne au dernier de la classe. Aujourd’hui, j’ai l’impression que le premier de la classe fabrique son bonnet d’âne. Et plus on est haut dans l’échelle, plus les oreilles devraient être grandes.

Non à la dégénérescence. Cela n’existe pas. L’homme se régénère sans cesse. En revanche, il faut se défendre dès le premier jour, simplement en régulant les dérives des pressions atmosphériques.

Il faut tenir la barre en plein milieu, c’est-à-dire à 1013 millibars pour toujours avancer tout droit.

On connaît le but, faut-il encore prendre le bon chemin.

C’est au pouvoir d’organiser immédiatement les conditions de régulation.

Il n’y aura jamais ni de bonne économie, ni de bon social, sans une bonne santé.

En appliquant ma découverte, je pense que le gouvernement aura gagné au loto et cela n’arrive pas souvent.

J’aurais préféré donner un prix au premier de la classe plutôt que de le laisser fabriquer son bonnet d’âne.

Allons, Monsieur le Premier Ministre et Messieurs les Ministres, réveillez-vous en terrassant l’invisible, en terrassant la maladie.

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