Avoir chez soi un baromètre est vital

Avoir un thermomètre chez soi, c’est utile, mais de toute façon ce n’est qu’à titre informatif car vous ressentez la chaleur extérieure.

Connaître la pression est vital

Un baromètre est vital

Avoir un baromètre est vital car les pressions atmosphériques ne sont ni visibles, ni ressenties et elles sont inodores.

Au-delà d’une pression atmosphérique de 1035 millibars, vous êtes en danger et la fatigue devient pesante au bout de deux à trois jours. Au-delà de 1035 voire 1040, c’est votre vie qui est en danger, c’est pourquoi le baromètre est vital.

Ce n’est pas le cas en ce qui concerne la chaleur extérieure à notre corps, qui peut aller jusqu’à 50 ° sans pour cela être mortelle. Les peuplades d’Afrique et surtout du Sahara la supportent.

Quant au thermomètre destiné à prendre la température du corps, il est aussi très important car si la fièvre, quel que soit son degré, entraîne un ressenti, voire des malaises, il est important de la contrôler.

En fait, l’action de la pression atmosphérique est comparable à l’état d’abattement de notre corps quand on atteint des températures du corps de 39, 40, voire 41 ° et dès lors, le baromètre est d’autant plus nécessaire que la pression atmosphérique n’est pas ressentie immédiatement mais qu’elle peut être mortelle. Le baromètre est d’ailleurs d’usage dans le secteur funéraire.

Pour la pression atmosphérique, l’état de bien-être est à 1013 millibars. Au-delà commence la fatique qui devient de plus en plus grande et atteint une zone dangereuse au-delà de 1040 millibars.

J’ai déjà demandé que les pressions atmosphériques apparaissent sur tous les bulletins météo, mais je dois dire sans résultat à ce jour. Faudra-t-il qu’il y ait 15000 morts de plus pour qu’enfin le baromètre apparaisse sur vos écrans ? L’invisible est toujours difficile à croire ; et pourtant !

Faudra-t-il une loi pour imposer l’obligation d’affichage des pressions atmosphériques lors des bulletins météo ? C’est aussi un moyen d’information populaire.

Ces anticyclones sont la main de l’ « Ankou », celle des légendes bretonnes, qui fauche les vies. L’Ankou ! le nettoyeur. Les légendes ne connaissaient pas les pressions atmosphériques mais connaissaient ce phénomène d’étouffement qui emportait les leurs.

Connaître la dimension de ce phénomène permet de mettre en place les moyens que j’ai déjà préconisés.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.