La première économie à faire, c’est de ne pas dépenser ce que l’on n’a pas

Mon neveu, Michel-Édouard Leclerc remplit son rôle qui est d’éviter une hausse des prix, et c‘est très bien.

C’est le concept Leclerc que nous pratiquons tous dans la famille.

Mais pourquoi y a-t-il une hausse des prix, des taux d’intérêts et de la dette ? La spéculation en est une cause déterminante mais pas la seule, et loin s’en faut.

Regardez ce que l’on dépense inutilement depuis plus d’un siècle pour soigner les cancers, pour soigner la variole, pour soigner les virus : tout ceci est un manque dans notre budget et, pire encore, affaiblit notre santé, notre énergie et toutes nos forces à produire.

En cent ans, on a quasiment perdu 50% de notre énergie physique. Les cancers, les virus, en sont largement la cause : ils engendrent la peur. Et si vous comptez le nombre de journées qui n’ont pas pu être travaillées à cause de ces maladies, l’addition est incommensurable.

Bien sûr, on essaie de compenser par de bonnes paroles, par de petits chèques, et il le faut. Mais tout ceci aura des limites. Est-ce de notre faute ? Non, parce la faute est dans la nature. La nature nous apparaît toujours comme un paradis terrestre mais ses effets et ses productions néfastes détruisent notre système immunitaire et notre vie.

En revanche, nous sommes responsables de ne pas avoir mis fin à ces causes. L’Occident vit à crédit. Il dépense plus que la nature ne produit et on a fini par s’y habituer. Bien sûr, il faudra bien trouver une bonne raison. Alors, on a dit que la cause était le tabac, était l’alcool, était la drogue. Et tout ceci a abouti à avoir une vie que l’on ne vit plus mais que l’on supporte.

On s’est habitué à vivre avec des monstres d’une puissance incommensurable et ce, dès notre conception dans le ventre de notre mère. Et ces forces naturelles agissent sans qu’on y ait pensé ou qu’on l’ait imaginé. On est toujours à côté de l’essentiel.

Ma découverte n’est rien sans une volonté de donner à l’homme une autre vie, de mettre fin à tous les parasites et à toutes les forces destructrices, soit en les éradiquant, soit en les régulant.

Notre système de vie, notre système immunitaire, sont conçus pour supporter un certain nombre de ces événements naturels. Ils ne peuvent pas toujours faire face, il faut donc éviter les causes de ces forces.

C’est un jour sur trois que le combat est inégal mais l’homme possède tout ce qu’il faut pour que ce combat soit d’égal à égal.

Et ce n’est pas la médecine qui trouvera la solution : ce n’est pas son rôle. C’est la technique physique qui y mettra bon ordre.

 

Avoir un thermomètre chez soi paraît évident

Avoir un thermomètre chez soi, c’est bien pour notre confort.

Avoir un baromètre chez soi, dans sa chambre à coucher, est vital.

Contrôler la température du corps comme celle de l’extérieur, est un indicateur de confort. Avoir un baromètre électrique chez soi permet de vérifier les variations des pressions atmosphériques qui sont la cause de la destruction de notre vie.

Ce baromètre électrique est l’élément déterminant pour assurer le contrôle d’une pression  normale dans votre chambre. Et vous allez me dire : pourquoi pas ailleurs ? Parce que c’est d’abord dans notre chambre que nous vivons huit heures par jour.

Réguler la pression atmosphérique sur la base de 1013 millibars, pression que le corps peut supporter tout à fait naturellement, est la solution qui mettra fin aux grandes maladies auxquelles on est exposé en permanence.

Ce petit baromètre, de la dimension d’une boîte d’allumettes, vous permettra de vivre plus longtemps et en pleine forme. Bien sûr, il n’est pas question pour moi de réguler la pression atmosphérique extérieure, qui s’affole parfois jusqu’à 1040 millibars, mais de desserrer l’étau dans lequel se trouve notre corps au-delà de 1013 millibars. Je veux éviter que le garrot n’entraîne la mort de millions de cellules privées d’oxygène car, au-delà de 24 heures, le corps pressurisé entraînera la mort de millions de cellules. En desserrant l’étau la nuit, la circulation du sang repartira et évitera la mort des cellules. On a oublié que nous avons dans notre corps 40 000 km de micro-vaisseaux et ce sont ces vaisseaux-là qui alimentent les cellules.

C’est l’objet de ma découverte qui nous permettra de vivre en pleine forme, beaucoup plus longtemps et jusqu’à 150 ans.

 

 

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