5% à la lutte contre la pollution, le réchauffement…

Ne pourrait-on pas consacrer 5% de ce que l’on appelle les cotisations sociales à la lutte contre les éléments du mal qui sont la pollution, le réchauffement climatique et encore les dangers cycloniques.

Pour compenser ces 5%, il est peut-être possible de supprimer les remboursements sur les cures de bien-être et certains médicaments de confort.

Oui, il me semble plus utile d’attaquer les causes plutôt que d’accroître un confort sans limite dans le temps, attaquer les causes là où elles se trouvent, à la source. Il est vrai que nos chercheurs passent plus de temps à créer des médicaments souvent placebo que d’attaquer le mal à sa source.

Je reste d’ailleurs convaincu que par ce processus, on réduirait considérablement l’addition de la Sécurité Sociale.

Décidément, nous vivons un peu dans un monde à l’envers, la tête en bas et les pieds en l’air. La machine humaine n‘est pas ainsi faite.

Il est possible que soigner un mal rapporte davantage que de rechercher et d’attaquer les causes, ce qui supprimerait, pour le moins, beaucoup d’effets secondaires souvent dangereux.

La machine humaine est un trésor que l’on ne protège pas suffisamment que ce soit des maux internes ou ceux provenant de l’extérieur.

Prévoir une cagnotte de 5% pour s’attaquer à l’essentiel, c’est ce à quoi devrait souscrire le gouvernement. En fait, cette idée de 5% ne serait peut-être pas une mauvaise idée ! Qu’en pensez-vous !

Mais là-encore, ne prêche-t-on pas dans le désert ? Ne se sert-on pas de la machine humaine pour se faire de l’argent ? C’est une machine à gros rapports, sans investissements.

Dans notre pays, on a peur de tout. On a la peur du gendarme, on a la peur de mourir, on a la peur de tout ce qui est innovant. Et ces peurs-là ne sont que des fabrications de l’homme.

On a presque l’impression que la maladie, que les attaques du chaud, du froid ou de la pression atmosphérique, ne sont que des dons pour les financiers.

Allons, France, relève-toi, réveille-toi ; protégeons notre trésor qui est la vie, tout simplement en se mettant à l’abri des éléments naturels mais dangereux.

En fait, c’est ce que je propose. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple ?

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