Y aura-t-il un sursaut de l’humanité ?

« Trop tôt » pour le dire, mais il faut éviter d’avoir à dire «  trop tard ».

A ce jour, il y a 500 millions d’individus dans le monde qui, officiellement, sont atteints d’une grande maladie.

Il y a 6 milliards 500 millions qui ne le savent pas encore.

Rien qu’en France, il y a 5 millions de personnes qui sont officiellement reconnues pour être atteintes d’un cancer

et il y en a 62 millions qui ne le savent pas encore.

Il y a, en France, 1 000 nouveaux cas par jour, selon l’Institut Pasteur,

et il y a  100 000  nouveaux cas par jour dans le monde.

Il y a 950 décès par jour par cancer en France et 95 000 dans le monde.

On nous dit que la population mondiale se réduit :

  • ce n’est pas une bonne chose pour l’économie mondiale.

Tous ces chiffres devraient faire réagir et inciter à se poser la question sur la cause, la vraie cause.

Hygée n’est pas un outil miracle, il est le fruit des mathématiques.

Il  permettra d’éviter tout nouveau cas et il évitera le développement des cancers et des grandes maladies pour ceux qui en sont déjà atteints.

Une seule cause pour tant de conséquences.

C’est, en fait, comme si l’oxygène disparaissait, dans le monde

et c’est justement le manque d’oxygène qui fait mourir nos cellules.

C’est monumental que personne n’ait cru utile de se diriger sur cette piste.

On s’affole quand les réseaux d’eau ne fonctionnent plus :

  • on ferait bien de s’affoler quand nos cellules ne sont plus irriguées.

Il faut tout de même se rappeler qu’une variation de 40 millibars entraîne un poids de deux tonnes supplémentaires sur notre corps.

Je ne connais pas d’humain qui puisse résister à être écrasé par un véhicule de deux tonnes…

Rappelez-vous aussi que nos micro vaisseaux sanguins sont si fragiles, si souples que toute variation de la pression atmosphérique les aplatit immédiatement.

Oui, je sais que nous avons déjà 40 tonnes qui pèsent sur nos épaules mais sachez que le corps humain ne supporte aucune variation sans conséquences désastreuses.

Et, selon l’OMS, le nombre de cancers s’accroit tous les jours, et depuis des siècles notre corps s’affaiblit tous les jours et l’on est arrivé à un point de rupture.

  • Va-t-on vers la fin de l’humanité ?
  • Ou aura-t-on le courage d’y apporter une solution ?
  • Et la solution est de réguler la pression atmosphérique pendant quelques heures par jour, là où l’on se trouve ; ce peut être en dormant, dans votre chambre ou en travaillant, dans votre bureau.

En agissant de la sorte, nous éviterons toute réduction de notre système immunitaire et l’on se mettra ainsi à l’abri de tous les virus et de nous les microbes.

Arrêtons de bricoler en nous injectant, par ci par là, des anticorps qui ne peuvent durer plus de trois mois.

Tout ceci est du bricolage.

Il faut revenir à la raison.

Il y a un trou dans la raquette

Et la balle de tennis passe au travers ! Dans le monde médical, il y a un trou dans sa philosophie. Il veut s’approprier notre vie mais c’est la nôtre et pas la sienne.

Le médical doit pouvoir réparer lors d’un accident. C’est à nous d’éviter l’accident, c’est à nous d’éviter les grandes maladies. C’est à nous de reconquérir notre puissance qui s’est affaiblie depuis des siècles.

Nous devons transmettre notre énergie intacte à nos enfants qui vont naître et consolider la vie de chacun d’entre nous, quel que soit notre âge et notre situation physique et intellectuelle du présent.

Nos cellules sont des êtres vivants :

  • donnons-leur la possibilité de respirer à tout moment et chaque jour de l’année, chaque heure de notre vie.

Ce sera le rôle d’Hygée, le régulateur de la folie des variations des pressions atmosphériques qui s’étalent de 960 à 1050 millibars.

La norme est de 1013 millibars comme la température interne de notre corps et de 37 degrés et la température externe de 20 degrés.

On a su se protéger du chaud et du froid, de la tempête, des orages, de la neige, des glaces ainsi que des bêtes sauvages ; on a oublié ce conflit avec la nature des pressions atmosphériques.

Dans tout conflit, il y a toujours un gagnant et un perdant. Aujourd’hui, dans ce conflit avec les variations des pressions atmosphériques, le perdant, c’est l’homme.

Aujourd’hui, on voudrait bien réussir à soigner le mal. Ne serait-il pas plus raisonnable de tout faire pour l’éviter ?

L’homme s’est affaibli ;

  • qu’en restera-t-il dans les siècles suivant si l’on ne fait pas tout le nécessaire pour rétablir sa puissance physique et intellectuelle initiale ?

Ceci est valable pour moi, malgré mes 83 ans, comme pour tout le monde.

 

 

 

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