Va-t-on sacrifier la liberté à la cupidité ?

Que l’on contrôle ce à quoi sert l’argent offert par les États-Unis et par l’Europe me semble normal et je pense que Monsieur Zelenski est d’accord sur ce point.

La confiance est une chose, la vérifier est aussi nécessaire.

Risquer de perdre de la liberté pour une histoire de 500 milliards est effrayant quand on sait que, rien qu’en France, on a fabriqué pour 3 000 milliards de dettes à des fins purement politiques : d’ailleurs, les États-Unis affichent également une dette à hauteur de 30 000 milliards.

Vous allez me dire qu’il ne faut pas en rajouter, bien sûr, mais ne pas aider l’Ukraine, c’est ajouter demain un zéro au chiffre de la dette.

Aider l’Ukraine, c’est aussi accroître notre PIB et celui de tout l’Occident et des États-Unis.

Une dette, ça se recouvre dans le temps, la liberté, c’est au prix du sang comme en 14-18 et en 39-45 et ce, dans les années à venir. Et il est évident que ce ne sont pas ceux qui s’opposent à cette aide qui mourront car nombre de nos soldats ira au combat, dès demain.

Aujourd’hui, c’est la Hongrie, avec quelques députés ou sénateurs américains qui s’opposent au versement d’une nouvelle aide. Ceci est ridicule car on sait pertinemment qu’en fin de compte, les sommes promises à l’Ukraine seront versées. C’est un marchandage, c’est un chantage.

 

L’Ukraine, une épine dans le pied de Poutine

Quand Poutine dit que tout va bien, c’est que tout va mal en Russie.

Ce qui va se produire en Crimée mettra fin à ses ambitions folkloriques.

On n’est plus très loin de voir les soldats de l’OTAN et des États-Unis sur le sol ukrainien, et tout spécialement en Crimée.

Reprendre la Crimée, c’est signer l’arrêt de mort de Poutine et cela va se faire avant son élection. Cela mettra fin à la guerre en Ukraine.

Ils seront plus de 300 000  soldats à débarquer par terre, par mer et par air, sur le sol de Crimée. La forteresse de Crimée d’aujourd’hui ne pourra résister longtemps, à peine huit jours.

Les F16, les Rafale, réduiront en  pièces la forteresse, ainsi que le pont de Crimée. De plus, il est  vrai qu’en Crimée vivent de nombreux Ukrainiens qui faciliteront la tâche.

La Crimée, une fois reprise, le front se réduira à 400 km.

Il ne faut pas attendre le printemps car, en hiver, l’approvisionnement russe sera très difficile, ce qui ne sera pas le cas pour l’Occident.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.