Un SMIC européen dépend de nous

Un SMIC international, voire mondial, peut très bien s’obtenir selon un calendrier défini pour y parvenir.

Pour l’Europe, cela ne dépend que de ses adhérents.

Si un pays veut vendre ses produits chez nous :

  • il doit accepter les normes de notre pays
  • il doit nous donner un calendrier pour l’établissement d’un SMIC chez lui.

Accepter une concurrence déloyale, c’est condamner notre agriculture, notre industrie.

Quand tous les pays vont se réunir à Paris pour les Jeux Olympiques, ils vont accepter les mêmes règles. Quand il y a des tournois internationaux, ce sont les mêmes règles qui sont appliquées.

Pourquoi ne ferait-on pas la même chose pour l’agriculture ou pour l’industrie pour pouvoir participer aux matchs d’une économie mondiale ?

Ce que l’on accepte sans discuter pour le sport, nous devons l’accepter sans discuter pour l’économie : ce qui est possible pour l’un peut l’être pour l’autre, faut-il encore le vouloir et ne pas pratiquer une politique démagogique.

 

Il sera utile d’avoir deux coefficients

Les chiffres sur l’inflation sont trompeurs. Ils ne représentent pas la vérité.

Il faut distinguer un chiffre pour les produits industriels et le bâtiment et un autre pour les produits  alimentaires, les assurances, les mutuelles et les produits énergétiques.

Il faut distinguer le produit à long terme et la consommation journalière. Nous comprendrons mieux alors les difficultés de notre pouvoir d’achat.

Tout ce qui est à crédit réduit les conséquences de l’inflation.

Il faut que les Français comprennent le pourquoi de leurs difficultés journalières. 90% des Français ne s’expliquent pas l’envolée des prix dans leur caddie.

L’utilisation de deux coefficients permettrait d’avoir le droit de savoir.

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