Le risque est toujours là. Et alors ! Etre mis en prison pour avoir sauvé l’humanité est un honneur. Avoir refusé le risque frôle la complicité.
Laisser mourir son peuple par la maladie pour ne pas avoir cru, ou écouté, ou essayé tout ce qui était possible par l’évidence, est un risque qu’il ne faut pas prendre, dans l’intérêt général.
Etre subordonné au judiciaire ou aux scientifiques, surtout quand on ne vous propose rien si ce n’est un confinement général par l’échec du savoir, constitue une absurdité.
Avoir des dirigeants qui ont peur, pour avoir été soumis à l’argent et pour ne pas avoir fait ce qu’il faut, pour la production et la productivité, c’est manquer à son devoir.
Travailler avec l’argent que l’on n’a pas produit est un risque qu’il faudra tôt ou tard assumer et probablement sur un siège éjectable.
La peur est mauvaise conseillère ; on ne fait absolument rien de bon quand on a peur.
Alors, prendre des risques, c’est cela la vie dans un monde qui l’impose.
L’Etat ne doit pas être à la botte, ni du judiciaire, ni des scientifiques. L’Etat démocratique doit d’abord défendre la démocratie qui a le pouvoir sur le scientifique et sur le judiciaire politique.
Le pouvoir doit avoir le dernier mot même s’il bouleverse les habitudes et s’il renverse la table.