Un chèque par-ci, un chèque par-là

Un chèque de 100 euros par-ci, un chèque de 200 euros par-là. Ce ne sont que
des chèques, de l’argent, qui vont ont été volés sous des prétextes fallacieux
telle que la taxe européenne sur l’électricité et une TVA dont le total augmente
sans cesse car elle est proportionnelle au montant de la vente.
C’est d’autant plus fallacieux que l’on va distribuer ces chèques à 5 ou 6
millions de Français sur le magot que l’État s’est fait sur eux. Et les autres
devront se débrouiller tout seuls.
Il en est de même pour les entreprises : les critères qui sont imposés mènent à
une discrimination sans nom.
Mais comment a-t-on pu arriver à cette magouille à la petite semaine ? Drôle
de gestion de l‘État, qui ressemble davantage à un système électoraliste qu’à
un système compensatoire.
L’année qui vient va être plus terrible encore que celle que nous vivons
actuellement. Les augmentations déjà annoncées sont fulgurantes, y compris
pour les Parisiens avec le Pass Navigo. Tout cela pour dire que l’État a du
cœur… !
On vous prend 1 000 euros et on vous rend 100 euros.
Dans l’ensemble de la France, l’État aura pris des dizaines de milliards de taxes
en plus et en aura rendu quelques-uns parcimonieusement.
Décidément, l’État ne remplit pas sa tâche. Il impose une inflation à tous, dont
ceux qui ont eu le soin d’économiser. En fait, il s’est enrichi en réduisant sa
dette d’une manière artificielle.
De plus, en parlant d’économie : le COVID est de retour, le cancer continue sa
révolution et l’État ne fait aucune économie en ne cherchant pas à réduire ce
qui lui coûte très cher.
La banque mondiale a demandé au gouvernement de revoir son budget et tire
la sonnette d’alarme sur la dette dont on se sert abusivement.
A par cela : tout va très bien Madame la Marquise….

La Sécurité Sociale

La Sécurité Sociale est une arme contre la compétitivité.

ll n’est pas question de la supprimer mais il faut transférer son financement sur
le budget de l’État.
La Sécurité Sociale est devenue un fonds de commerce, une espèce de
mutuelle qui a réduit à néant notre compétitivité et nos exportations.
La France est un pays de génies mais les génies finissent par partir sous
d’autres horizons car, en France, travailler est moins intéressant que de ne rien
faire.
En France, créer, innover, est devenu un calvaire. On dit aider ceux qui
travaillent, ceux qui cherchent et ceux qui trouvent : c’est faux, car changer les
mentalités en France et l’incrédulité, nécessite tant d’effort que beaucoup
finissent par y renoncer.
Comment voulez-vous pouvoir être compétitifs face à des pays comme la
Chine, comme l’Inde et même comme les États-Unis qui n’ont, ni Sécurité
Sociale, ni congés payés, pris sur le travail ?
Il y a d’autres solutions qui ne mettent pas en péril notre compétitivité.
Comment voulez-vous que de vrais industriels reviennent chez nous, avec des
capitaux, dans de telles conditions ?
Alors, on va dire : mais les Français ont un savoir-faire plus que tout autres ? Ne
croyez-vous pas que cette notion soit quelque peu dépassée dans le cadre de la
mondialisation ?
Alors, ne pensez-vous pas également qu’il serait souhaitable de commencer à
faire en sorte que toutes nos maladies ne pèsent plus sur le coût du travail ?
Pour cela, il faudra beaucoup de temps mais nous savons, à présent, le faire.

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