Stopper l’immigration et organiser le retour des émigrés dans leur pays aura un coût. Et ce coût sera de 50 000 milliards sur les vingt années à venir.
Cet argent est l’investissement nécessaire pour que tous ces pays africains puissent devenir comme le nôtre et comme l’Europe. Il faut que les émigrés aient envie de retourner et de rester chez eux, auprès de leur famille, là où ils pourront vivre normalement, comme chez nous.
Le retour des musulmans et autres émigrés dans leurs pays ne pourra se faire qu’à ce prix. Cette solution règlera simultanément les problèmes de réchauffement climatique en donnant aux déserts leurs sources de profit agricole, minier et touristique.
L’Afrique, le Mexique, l’Inde, deviendront des pays de cocagne au même titre que les autres pays européens.
Il faudra aussi leur donner les moyens de pomper l’eau qui existe sans limite dans les nappes souterraines du Sahara et de tous les déserts.
De plus, il ne faudra jamais oublié que l’argent investi reviendra à raison d’au moins 50% dans les caisses de l’Europe grâce au matériel que nous leur vendrons.
Il s’agira d’un marché fabuleux mais qui nécessitera une remise en ordre de notre système de financement social afin d’être compétitif vis-à-vis de la Chine et des Etats-Unis.
L’énergie est la clef de la paix. On ne résoudra pas le problème de l’Islam par des mots et des discours, et encore moins par la contrainte mais par les souhaits et le bonheur de ces émigrés.
Il ne faut pas prendre cette solution comme une éventualité, elle est une nécessité si l’on ne veut pas revenir à des guerres de religions.
Et nous savons, nous Français, ce que cela nous a coûté en vies humaines, ces guerres entre catholiques et protestants. Ce sont des conflits inutiles, sans intérêt, sans résultats, mais qui laissent de terribles traces, y compris chez nous ou dans les pays cathares. Les catholiques et les protestants ne se réunissent pas même dans les cimetières où ils ont chacun un cimetière à part.
Aujourd’hui, en France, le problème des musulmans n’aura pas de fin si nous ne voulons pas résoudre les problèmes économiques qui, avec bonheur, résoudront aussi les problèmes climatiques.