« Pactiser », « Collaborer », « Vivre avec », n’est pas français

« Pactiser », « collaborer », « vivre avec », n’est pas Français.

On n’est pas cohérent. On envoie notre armée au Mali, au Tchad, au Niger, pour détruire l’ennemi qui met en cause notre liberté. Et je peux vous assurer que notre armée ne pactise pas, ne collabore pas et ne vit pas « avec » l’ennemi.

Et en France, je refuse de « pactiser », de  « vivre avec »  et  de « collaborer » avec l’ennemi commun qu’est le virus.

Au Mali, on a mis les armées qu’il fallait. En France, utilisons le sésame, le Graal, pour éradiquer le virus. C’est la seule arme qui soit nécessaire, ce sont les rayons ultraviolets, fournis, soit par des lampes, soit par des panneaux, soit par des tubes.

Acheter 20 millions de ces armes ne coûtera que 800 millions, soit le prix de deux chars Leclerc, soit dix fois moins chers que tous les vaccins réunis, ces derniers ne protégeant qu’un tiers de la population française.

Non: nous ne sommes vraiment par cohérents, on préfère laisser mourir 300 Français chaque jour. Mais qu’en serait-il si on acceptait de voir revenir chaque jour trois cents cercueils de soldats, morts pour la France ?

C’est la guerre ! Acceptons au moins de la faire en France avec la participation de 67 millions de Français qui n’attendent qu’un seul signe de la part du Président de la République.

Non, Monsieur le Président, nous ne collaborerons pas car collaborer, pactiser, n’est pas Français.

QUE SOMMES-NOUS DEVENUS ?

Des lâches qui acceptons de vivre « avec » le virus.

Des lâches qui acceptons de laisser mourir et de tuer nos vieux.

Mais aussi, des lâches qui refusons un nouveau système de la Sécurité Sociale, nécessaire pour être en tête de la mondialisation économique.

Etre n’est pas subir mais c’est garder le contrôle de notre liberté et de la défendre et, plus encore, quand il s’agit de nos vies.

Ne soyons par les sous-fifres de la mondialisation mais acceptons ce que personne n’a encore essayé réellement, d’une part, de tuer le virus par le sésame et le graal que nous avons, d’autre part, d’accepter le transfert des charges sociales sur le budget de l’Etat ; c’était une idée du Général de Gaulle pour sauver notre économie.

Les Français en ont assez du chômage et de la mort de nos vieux.

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