Réduire les retraites

C’est une véritable escroquerie que veulent nous imposer les bureaucrates.

C’est de l’argent que l’on a versé et avancé depuis 40 ou 50 ans. Où est passé cet argent ? Il aurait dû être placé et devrait aussi produire un intérêt financier à reverser.

Cet argent aurait dû être multiplié par deux ou par trois. On a versé pendant 40 ou 50 ans pour une retraite qui ne va durer, à ce jour, que 20 ans en moyenne.

Non, vraiment, ce serait honteux de se servir des petits vieux pour combler une dette dont ils ne sont pas responsables. Ce sont les technocrates d’aujourd’hui, ce sont les mêmes qui ont encaissé cet argent pour l’Etat.

Ma solution, car il faut toujours proposer une solution, est la seule qui résoudra le problème des déficits. La Sécurité Sociale, c’est 300 milliards, les retraites, c’est 350 milliards, chaque année.

Que d’argent perdu ! Pour le pallier :

  • pour la Sécurité Sociale, c’est éviter les maladies en régulant nos constantes de vie
  • pour les retraites, c’est éviter la vieillesse en doublant notre durée de vie et de travail

la médecine n’y est pas parvenue : alors, écoutons la technique.

80% des grandes maladies ont pour cause un défaut d’arrivée d’oxygène par le sang, dans nos cellules et nos organes producteurs. Plus d’oxygène, plus de vie, plus de production.

A la clef, ce sont les cancers, l’arthrose, le diabète, etc.

Ma solution, c’est Hygée le régulateur, et pourquoi pas un autre. Au même titre qu’on utilise un radiateur pour se chauffer, il faut utiliser le régulateur. C’est simple et efficace, sans inconvénient, sans contact avec le corps humain, simplement dans son espace de vie.

Oui, la nature est plus forte que la médecine. Faut-il simplement l’accepter ? Eh bien non. L’intelligence humaine se doit de la réguler.

Ce sera 280 milliards d’économiser chaque année sans perdre le moindre avantage social.

L’incrédulité doit s’effacer face à l’évidence.

 

Oui, il y a de quoi être jaloux

Une situation qui ne fait que confirmer un accord secret entre la Russie et les États-Unis.

« Jaloux » est un mot trop faible face à ce qui est réellement sur le front. Monsieur Zelenski a raison quand il dit que les morts d’Ukraine sont les mêmes que ceux de Gaza ou d’Israël.

J’ai entendu, à plusieurs reprises, le président Biden affirmer que les États-Unis n’abandonneraient jamais l’Ukraine. C’était sans compter son accord secret avec la Russie.

Les États-Unis ont pour habitude de lâcher leurs alliés d’un jour. « Le commerce d’abord », disent-ils, quitte à entacher la liberté d’un peuple pourtant désireux d’être à nos valeurs.

L’Europe se réveille et se réarme. Elle a oublié la Corée du Nord qui nous annonce qu’elle va inonder le monde de virus. Ils en sont capables : ce sont des fous. Il serait peut-être temps de nous équiper, nous-aussi, des moyens de défendre notre système immunitaire face à ces menaces.

Le génie Ukrainien et l’Europe doteront l’Ukraine de tout ce dont elle a besoin, avec un peu de retard. L’Europe a toujours été ainsi : elle prend des décisions à courte vue mais finit par les prendre. L’Ukraine est un pays riche en idées mais aussi en économie souterraine et minière.

Je n’oublierai pas Israël qui est un point au centre d’un cercle de religions différentes. C’est une étoile, peut-être celle du Berger. Mais l’Ukraine, c’est notre liberté. En fait, l’un et l’autre veulent survivre. Il faut les défendre en valeur à égalité. Il n’y a pas lieu de protéger israël pour des raisons purement politiques. Israël est un département des États-Unis.

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