Pouvoir d’achat, chômage, participation, santé, sécurité

Pouvoir d’achat, chômage, participation, santé, sécurité, ce sont les cinq doigts de la main. Ce sont des frères siamois et donc étroitement liés.

La contribution au pouvoir d’achat, appelée à tort TVA sociale, obtenue par le transfert des charges sociales sur le budget de l’Etat, permettra de réduire le chômage à sa plus simple expression mais aussi à reconstituer une masse salariale grâce au travail de tous, et créera de nouvelles ressources pour l’Etat.

Cette solution apportera un nouveau contrat social dans un nouveau climat social.

La contribution au pouvoir d’achat sera, par la participation, par la suppression du chômage, de nature à accroître le pouvoir d’achat de 15 à 20%.

La participation rendue obligatoire aux bénéfices de l’entreprise, sera un élément déterminant.

La santé : il n’y a pas de bonne économie sans une bonne santé. Le sanitaire a un coût excessif qui sera réduit par la fin des grandes maladies telles que le cancer mais aussi les virus.

Il faut accepter la cause des maladies pour y apporter la solution. Ce n’est malheureusement pas l’objectif de nos chercheurs et encore moins celui des laboratoires.

Il nous faut combattre les dérives de la nature qui nous fait vivre mais aussi, malheureusement, mourir.

Mon seul souhait est que le mot « soigner » soit remplacé par le mot éviter. L’hôpital reprendra alors sa fonction de soigner l’accident et non plus les grandes maladies qui auront disparu.

Le coût de la Sécurité Sociale est de 180 milliards, chaque année. Le réduire à moins de 100 milliards est possible. Ce ne sont pas les hôpitaux qu’il faut agrandir, ce sont les techniques qu’il faut utiliser pour réguler les pressions atmosphériques et pour éviter les virus.

En fait, il faut simplement rétablir ce qui permet une vie normale.

La sécurité est malheureusement le cinquième doigt de la main, le plus petit. C’est aussi le moins coûteux. C’est exactement l’inverse qu’il faut faire.

Accroître le travail, accroître nos forces armées et accroître le bon sens, permettront aux cinq doigts de la main d’apporter le bonheur à tous les Français.

Le char de la France est tombé dans un fossé, il faut l’en sortir et ce sera avec les cinq doigts de la main que nous y parviendrons.

Il nous faut, à présent, produire et vendre. Il nous faut réindustrialiser la France. Pour ce faire, il faut mettre chaque chose à sa place. Le médical, bien sûr, mais  il a échoué aujourd’hui. Laissons donc un peu de place à la technique pour qu’elle remette de l‘ordre dans les dérives de la nature.  Soigner, c’est bien, éviter c’est beaucoup mieux et c’est beaucoup moins cher.

On dit que la vie n’a pas de prix, peut-être, mais ce n’est pas une raison pour disperser de l’argent pour assurer la vie.

Prenons les bons chemins, les bons moyens, les bonnes techniques. C’est aussi une nécessité pour notre économie.

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