Oui, j’accuse

Oui, j’accuse les politiques qui, depuis cinquante ans, ont protégé la spéculation et rien fait pour prévoir et pour arrêter les événements qui se posent aujourd’hui par le réchauffement climatique.

Depuis cinquante ans, on a transférer la charge du travail aux Chinois et nous, nous avons préféré chargé le travail. On a créé, en Europe, une pauvreté, une misère, qui persiste, pour des raisons d’intérêts.

Tout se paye parfois par un retour de bâton violent, comme aujourd’hui. Non seulement on a transféré le travail, mais aussi la technologie, mais aussi nos brevets. Mais à quoi penses-t-on donc ? On n’a pas voulu produire moins cher, on a désindustrialisé notre pays en utilisant la manne humaine des pays pauvres.

L’heure n’est pas à la polémique mais j’accuse l’irresponsabilité de la facilité car, à mon avis, dans deux mois, tout recommencera comme avant.

Reste à espérer que ce virus, ou  d’autres, ne se renouvellent pas tous les ans comme la grippe. Le pire sera le réveil d’autres virus.

Que faire ! Accepter la situation et le renouvellement des problèmes comme la grippe ou préparer un nouveau monde où l’on se battra avec les mêmes armes dans chaque pays. Et comme cela apparaît impossible dans les réunions internationales, il faudra, nous Français, imposer un monde nouveau avec une nouvelle justice, plus équitable permettant à tout un chacun de vivre avec nos moyens, avec notre travail, avec notre génie, aux mêmes coûts que ceux de la Chine.

Il faut revaloriser l’effort, le travail, le risque.

Les politiques n’ont pas su ou n’ont pas voulu imposer de nouvelles règles au monde entier, uniquement par faiblesse ou pour entretenir la spéculation

Aujourd’hui, on utilise l’argent du travail des autres ; cela, ne peut pas durer. Acceptons au moins l’idée de remettre à plat notre système économique mondial qui est complètement hors des rails. A quoi sert le TGV s’il ne reste pas sur ses rails ?

Il faut avoir le courage de dire non à ceux qui n’ont pas le même régime social que nous. Alors, il ne faut pas vouloir tout acheter à bas coût. Le système technique actuel est vérolé, redonnons au travail ses lettres de noblesse. Mais il est toujours plus facile de se laisser aller que de dire non.

Ce qu’il y a de plus grave, c’est que tout le monde le sait, y compris les politiques qui n’ont aucun cran, aucune volonté. Ils ne méritent vraiment pas leur statut. Ils vivent encore dans le passé, un passé monarchique.

Réveillons-nous ; l’avenir en dépend.

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