Notre gouvernement est tétanisé par la peur ; il n’est plus en mesure d’assurer l’offensive.
C’est à nous, citoyens, de comprendre les raisons et les moyens d’atteindre le virus.
Ce n’est pas une disposition médicale, ce ne sont que des dispositions techniques qui feront barrage au virus qui se promène partout, autant dans l’air que d’homme à homme. Il se pose partout, sur toutes les surfaces, y compris celles des avions qui viennent de Chine et d’ailleurs.
Nos mains se posent partout et inévitablement se trouvent en contact avec le virus. Et ce sont ces mains-là qui vont manipuler le masque. Ce n’est pas très rationnel.
L’heure est venue, pour tous les citoyens, mais aussi pour toutes les mairies, d’organiser l’offensive ; la défensive ne se fera qu’à l’hôpital et il est préférable d’avoir à l’éviter.
L’offensive, c’est d’abord de désinfecter la totalité des espaces publics et de placer des épurateurs d’air dans tous les locaux où les gens circulent ou demeurent un moment.
Pour désinfecter, il faut aussi mettre des couloirs sanitaires chauffés à 35° et munis de lampes à ultraviolets dans tous les passages obligatoires, que ce soit dans les supermarchés ou dans les métros. Ces couloirs doivent être prévus tant dans un sens que dans l’autre.
Dans les maisons, les lampes à ultraviolets sont devenues indispensable ; cela fait d’ailleurs bientôt quatre mois que je le dis et que je le demande.
Non, il n’est pas utile de vivre avec le virus ; on doit le détruire mais le gouvernement n’a plus cette force. C’est donc à nous de le faire. Il ne faut pas tout attendre d’un gouvernement paralysé.
Le gouvernement a choisi la solution de soigner : ce n’est pas la bonne. Il faut être offensif contre l’intrus.
Durant une guerre, il ne faut pas craindre l’agresseur, il faut le détruire et avoir le courage de l’affronter avec les armes dont nous disposons. Ce ne sont pas les hôpitaux qu’il faut agrandir, ce sont les dépôts des machines à désinfecter.
Cette solution sera beaucoup moins coûteuse en argent mais aussi en vies.