Monsieur Attal, vous dites « travailler plus »

Monsieur Attal, travailler plus, dans les conditions actuelles, n’est pas la solution.

Travailler plus, en travaillant plus longtemps et en pleine forme, est la solution.

Pour ce faire, il nous faut:

  • accroître notre durée de vie, voire la doubler. « Impossible », direz-vous ! Avez-vous d’autres solutions ?
  • faire en sorte que l’homme ose assurer la maintenance de son corps et ce, en respectant les constantes auxquelles le corps est assujetti.

Il ne s’agit pas d’épuiser l’homme. Au contraire, il faut lui éviter la fatigue, les maladies, la vieillesse.

Au-delà des constantes déjà respectées (température, pollutions, alimentation), il nous faut réguler celles qui sont invisibles. Il s’agit des variations des pressions atmosphériques et des influences magnétiques produites par le soleil mais surtout par l’homme (lignes à hautes tensions, transformateurs, moteurs électriques, etc.).

La solution est de faire en sorte que ces constantes invisibles deviennent acceptables pour la vie de nos cellules et de notre système nerveux.

Oui, doubler notre temps de vie en conservant notre jeunesse est tout à fait possible. Faut-il encore le vouloir.

En doublant notre durée de vie, nous doublerons aussi notre possibilité de temps au travail. Et l’on résoudra ainsi nos problèmes économiques et sociaux.

Monsieur Attal, la France sait comment le faire, en utilisant Hygée le régulateur, apportant un plus à la vie de tout un chacun. Je veux éviter que l’on ait besoin, comme aux Etats-Unis, d’assurer le lessivage de notre sang pour conserver notre jeunesse.

Monsieur Attal, voulez-vous y penser, s’il vous plaît. Eviter de vieillir redonnera à la France sa jeunesse et sa capacité à produire plus.

Interdire l’immigration

Interdire l’immigration, c’est ignorer les besoins de la France. La France manque de main-d’œuvre, qualifiée et non qualifiée.

On nous a dit que l’immigration faisait éviter des hausses de salaires pour tout le monde. Cette pensée est vraiment dépassée. Il est seulement nécessaire de renvoyer les immigrés qui ne travaillent pas ou n’ont pas de travail déclaré.

La France n’est pas une nation où l’on refuse le travail que l’on offre, en fonction de ses capacités, mais trop d’immigrés se trouvent dans la situation où l’on gagne beaucoup plus en ne travaillant pas. Toutefois, la France, sans ses immigrés, aurait de très gros problèmes d’activité.

La France n’est pas le dépotoir des pays qui ne cherchent pas à former leurs enfants. De toute manière, dans les dix ans qui viennent, avec notre dispositif des maintenances des constantes de vie, nous commencerons à doubler notre population.

Ceux qui osent dire aujourd’hui que c’est un rêve absurde feraient bien d’y réfléchir. La médecine n’y est pas parvenue, les techniques dont nous disposons le permettront. Ce jour-là, il faudra vraiment fermer nos frontières ; nous aurons alors assez d’heures de travail disponibles.

Que cela plaise ou pas, pour l’instant, on a besoin de l’immigration, mais pas n’importe laquelle et toute faute commise par un immigré doit entraîner immédiatement le retour dans son pays.

 

 

 

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