Le totalitarisme veut anéantir la démocratie et la liberté. Il a choisi d’anéantir l’Occident. Ce n’est pas la révolte du communisme sur le capitalisme : aujourd’hui, le communisme est tout aussi capitalistique que le libéralisme, chacun sous une forme différente.
L’Occident est parti à la dérive du capitalisme par la spéculation, par le monopolisme, par le capitalisme sauvage. Le communisme se trouve à exercer un capitalisme pur et dur mais ni sauvage, ni spéculatif. Il n’y aurait pas de mal à cette situation s’il n’y avait pas la liberté en moins.
Les démocraties se sont endormies sur la solution de la facilité en pénalisant le travail au détriment de l’effort. On a bradé notre avenir ; l’Orient est déjà chez nous, c’est le cheval de Trois. Il nous faut d’urgence quitter l’Orient par un commerce nouveau, par un commerce basé sur un social mais un social rénové.
Les puissances dites démocratiques doivent changer leur système ; malheureusement, au-delà de cela, nous sommes en pleine chienlit incontrôlée.
Le capitalisme a sa place en occident comme en orient mais c’est un vrai capitalisme et non un capitalisme sauvage qui conduit à la spéculation.
Dans les deux systèmes, le travail doit être à égalité sous toutes ses formes. Le travail ne doit pas être subordonné au social. Le travail doit produire d’une manière compétitive, que ce soit en Orient ou en Occident, mais avec les mêmes règles. Faire payer à la liberté l’inconscience de l’évidence est un crime.
Les pays démocratiques, ou tout au moins dits démocratiques doivent se souvenir que l’Orient c’est 50 % de l’humanité et aujourd’hui, c’est près de 60 % de la production, seul diffère notre système social et libéral. Il va falloir écrire une nouvelle charte du travail en expliquant le pourquoi et le comment.
Nous ne sommes plus en situation d’imposer, il va falloir faire un pas de part et d’autre. Mais, en attendant, il faut quitter l’Orient et ne commercer avec l’Orient que les produits indispensables.
Cela va nous poser des problèmes d’exportation mais sommes-nous conscients qu’on importe trois fois plus que l’on exporte en Orient ?
Oui, la facilité a vécu. Avant qu’il ne soit trop tard, il faut remettre les pendules à l’heure.
Oui, l’orient veut conquérir l’Occident, c’est son caractère expansionniste.
Nous, nous ne devons pas perdre notre liberté. Alors, il faut en prendre les moyens et il faudra produire un séisme dans notre système économique, social et fiscal. Il est vrai que ce n’est pas le chemin que l’on prend aujourd’hui mais le Coronavirus a fait éclater au grand jour que nous étions devenus des annexes de l’Orient.
En l’espace de 50 ans notre système a basculé créant la pauvreté chez nous et la richesse en Orient.
La diplomatie ne suffira pas. On sait ce que peuvent faire les pays totalitaires, leurs paroles ne valent pas cher.
Et tout ceci, par l’absurdité de notre système social et de son financement. A cela il faudra ajouter le système monopolistique de la médecine dans nos pays, qui n’arrive à rien et qui ne propose rien.
Il est temps de se réveiller.