L’heure de la compétitivité par la TVA Sociale est venue

Plus que jamais l’heure est venue de réduire nos coûts et d’accroître ainsi massivement notre compétitivité par la TVA Sociale. Le fait de pénaliser l’Europe et pas la Chine, est une volonté délibérée du Président TRUMP de tenter de réduire au maximum l’influence de l’Europe et de sa monnaie.

La compétitivité par la TVA Sociale est la solution

L’Europe doit réagir d’une manière constructive, et spécialement la France qui traîne un boulet de charges patronales quasiment du double de tous les autres Etats. Elles ont pour effet d’anéantir notre productivité même quand le monde entier est sur la voie d’une reprise temporaire de l’économie.

Mais attention. Déjà les taux d’intérêts remontent et pour 1% de plus de taux d’intérêts, la France devra payer 32 milliards de plus chaque année.

Faire croire que le transfert des charges sociales sur le budget de l’Etat serait pénalisant pour la France, c’est faux. Les chiffres le démontrent : la baisse de tous les prix de 15% acceptée par le patronat, qu’il soit public ou privé, entraînera une surconsommation et surtout des exportations massives vers tous les pays du monde, avec ou sans les Etats-Unis. On supprimera le coût du chômage, on réduira automatiquement le coût des fonctionnaires et, sans nouveaux impôts, on accroîtra les ressources de l’Etat, tout simplement par plus de revenus et surtout plus de nouveaux revenus, mais aussi par plus d’investissements et par une production accrue de 2 milliards par jour soit 4 milliards de vente.

Le problème des entreprises publiques aujourd’hui déficitaires sera résolu : elles pourront prendre en charge leurs dettes.

L’augmentation du pouvoir d’achat de 22% entraînera automatiquement davantage de CSG pour l’Etat.

Il ne faut pas croire que les Etats-Unis soient les maîtres du monde pour les problèmes commerciaux ; loin de  là. Nous avons des produits qui sont super compétitifs et appréciés du monde entier. Par nos prix compétitifs, grâce à une compétitivité par la TVA Sociale, nous vendrons davantage de produits agricoles, mais aussi plus de bateaux, plus d’avions, plus de centrales nucléaires au thorium et, pendant ce temps, les Etats-Unis perdront aussi des marchés.

L’euro deviendra une monnaie internationale, c’est indispensable : on ne peut continuer à être tributaire du dollar.

L’hégémonie américaine, tant militaire que commerciale, doit disparaître ou tout au moins être considérablement réduite.

Mais tout ceci n’est possible qu’avec plus de moyens technologiques, plus de moyens de recherche, et il faudra aussi que tous nos cerveaux de nos grandes Ecoles restent en France et qu’on leur donne les moyens de créer, d’innover. Et pour ce faire, c’est toujours la même chanson : il faut supprimer les charges patronales. L’URSSAF doit être réformée : elle est la cause de dizaines de milliers de dépôt de bilan dans son fonctionnement actuel. La protection sociale doit être mutualisée, non pas sur le travail, mais sur les revenus de chacun.

Certes, c’est toute une révolution. Et au moment où l’on parle de réforme : c’est la première de toutes les réformes. Tout le reste en découlera.

Les Etats-Unis qui se prennent pour le centre du monde, ne souhaitent même plus assurer la protection de nos vies.

Le pétrole, les pétrodollars, doivent disparaître, tant pour le climat que pour nos économies.

L’uranium, qui n’existe que par sa force de pouvoir fabriquer des bombes, doit rester purement à usage militaire et notre énergie doit reposer sur des produits sans risques, sans déchets, et tout aussi compétitifs qui nous permettront d’ailleurs de brûler tous les déchets antérieurs.

O qu’il est bon le temps où le Général de GAULLE imposait son indépendance et faisait de la France une puissance économique et sociale.

Les forces de l’OTAN, desquelles de GAULLE était sorti, ne semblent plus être le protecteur du monde. Il pourrait très bien y avoir, dans les années à venir, des changements d’alliance si la folie d’un homme remet en cause notre indépendance.

Oui le dollar est toujours une monnaie qui, aujourd’hui, est devenue un moyen de chantage. Alors il faut le neutraliser. Et là encore, ce ne sera possible que si le peuple français vit mieux et avec plus de moyens. Car ce que fera la France, l’Europe le fera aussi.

Le chantage à l’aluminium et à l’acier, ce n’est qu’une baudruche qui s’étouffera car la France possède ce qu’il faut pour produire l’aluminium. Et l’Europe possède ce qu’il faut pour produire l’acier qu’on a parfois négligé par manque de compétitivité. Il faut donc de la compétitivité par la TVA Sociale…

Autrement dit, les difficultés qui apparaissent aujourd’hui face aux Etats-Unis, c’est le financement de nos services sociaux qui en est la cause. Loin de moi l’idée de réduire toutes nos avancées sociales, mais il faut en changer le financement.

Si vous êtes en accord avec ce projet de transfert des cotisations sociales, signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES de relance économique par la hausse du pouvoir d’achat.

compétitivité par la TVA Sociale

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