L’État qui tue et qui assassine la France

Par contrat jusqu’à fin 2017, l’État français se sert d’une entreprise privée, l’URSSAF, collecteur des cotisations sociales pour tuer moralement et physiquement chaque année des milliers de jeunes entrepreneurs, des milliers d’indépendants, des centaines de start-up qui ont eu le culot d’embaucher un, deux ou trois salariés, qui ont eu le culot d’entreprendre, qui ont eu le courage d’y mettre toutes leurs économies familiales pour payer sans succès les charges sociales. Il faut réformer cela.

L’État doit changer cela au plus vite

Oui, on peut décrire l’URSSAF comme un “bras armé”, privé, qui coûte d’ailleurs à la collectivité. Par son entremise, l’État va ainsi détruire 70% des entreprises naissantes qui – dans un contexte pourtant difficile – cherchent à créer, innover, produire, travailler, jour et nuit. Un système qui va anéantir ; anéantir la jeunesse des entrepreneurs, celle de leur conjoint, avant qu’ils aient commencé à vendre des produits et des services qui nécessitent souvent des investissements et donc des prêts auprès des banques, avec des cautions personnelles. Nous en avons pourtant besoin. Besoin de ces familles investies dans l’avenir de la France. Besoin de ses entrepreneurs qui prennent des risques. Besoins de cet URSSAF qui doit trouver une nouvelle fonction.

Michel Leclerc : “Monsieur le président de la République, ne tuez plus ces jeunes qui – toute leur vie – vont devoir rembourser ces crédits, par l’application stricte des règles que l’on demande à l’URSSAF d’appliquer dans la majorité des cas. Il faut changer ce système pour le rendre viable à terme.”

L’État doit reprendre la main et donner une nouvelle fonction à l’URSSAF

L’Etat a choisi son “bras armé” pour récolter ce qui est insensé, ridicule, absurde : un système fondé sur les cotisations sociales. Non pas qu’il ne faille pas financer la Sécurité sociale. Bien au contraire. Qu’ils soient auto-entrepreneurs, entrepreneurs ou gérants de société, c’est le capital de la France qui part ainsi en fumée avec le système que nous connaissons actuellement. Changeons le système de prélèvement.

Pour le courage de ces jeunes qui voulaient embaucher et faire vivre la France, Monsieur le Président, vous ne pouvez pas être coupable de ces assassinats dès lors même qu’ils n’ont pas eu le temps de prouver leur capacité.

  • Monsieur le Président ne vous rendez pas responsable de suicides par dizaine chaque année. Ces jeunes personnes attendent de vous des solutions.
  • Monsieur le Président, c’est par contrat que vous tuerez ces enfants si vous n’agissez pas.
  • Monsieur le Président, les charges sociales n’apportent que le désespoir des entreprises et détruisent l’envie de produire. Redonnez de la compétitivité à nos entreprises.
  • Monsieur le Président, la France est  vraiment la seule nation dont les charges sociales détruisent la compétitivité et l’emploi.
  • Monsieur le Président, par une seule ordonnance transférant le budget de la Sécurité sociale sur le budget de l’État, vous redonnerez à la France l’envie de faire, de créer, d’innover par des jeunes qui sont prêts à tout donner pour leur pays.

Le plan de Charles de Gaulle

Financièrement, cette ordonnance doit être totale, c’est le seul moyen pour assurer le financement de la sécurité sociale et assurer l’accroissement du pouvoir d’achat ainsi que le développement de nos exportations. Il faut aussi redéfinir le rôle de l’URSSAF. Une grande action en faveur des personnes handicapées manque à la France. Ne serait-ce pas plus noble pour ce qui pourrait devenir l’Union pour le Redressement par la Sécurité Sociale et les Allocations Familiales ? D’autant qu’il faudra toujours vérifier si les entreprises appliquent bien le plan de relance que nous proposons à travers du plan TRES.

Michel Leclerc : “Construisons la France de demain, ne détruisons pas notre jeunesse. C’est un “crime”, et le mot n’est pas assez fort si l’on ne fait rien. Vous en êtes à présent le responsable Monsieur le Président. Agissez et vite.”

Signez la pétition pour faire bouger le gouvernement et appliquer le plan TRES.

L'État france

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