Les terribles lois de la nature, de l’argent, du social

Monsieur Macron a été réélu, les dérives de la nature, de l’argent et du social ont la voie libre.

On trouve excessifs les 35 milliards offerts par les États-Unis à l’Ukraine mais nous, nous nous sommes habitués à avoir 3 000 milliards de dettes et les États-Unis 30 000. En fait, 35 milliards, c’est très peu pour défendre notre liberté.

Les milliards de dettes ne sont pas parvenues à réguler, ni les dérives de la nature, ni les dérives de la mondialisation, ni les dérives du financement du social. Monsieur Macron aura-t-il la baguette magique et le courage d’y mettre de l’ordre ? Pas si sûr ! Le dernier quinquennat ne l’a pas pris en ligne de compte.

Pendant ce temps, le monde du travail et des retraites est à genoux et trinque, avec un pouvoir d’achat en dérive. Par le COVID et par les cancers, la nature tue, chaque année, 650 000 personnes en France et 65 millions dans le monde. La mondialisation, telle qu’elle est conçue actuellement met en péril nos économies française et mondiale. En France, le social, tel qu’il est financé, condamne le social, le travail, nos exportations et notre pouvoir d’achat.

Les vraies causes de cela, ce n’est pas Poutine mais notre système anarchique et non contrôlé, ni régulé, sur le plan social, sanitaire et économique.

On me dit « ne touche pas au social ». Non seulement, je ne réduis pas le social, mais j’accrois le pouvoir d’achat, je prolonge la vie, je combats les monopoles et je combats les dérives de la nature. En fait, je demande une régulation de la mondialisation et de la nature. Je ne me contente pas de dire, j’en apporte la solution :

  • pour le social, c’est le transfert immédiat des charges sociales salariales et patronales sur le budget de l’État
  • pour le sanitaire, cancers, COVID, je demande une régulation des dérives de la nature et j’en donne les moyens.

Monsieur Macron sera-t-il le dieu du stade pour marquer les buts que je propose ou continuera-t-il à être l’allié de  l’argent spéculatif et avec ceux qui croient savoir et ne connaissent que l’argent au détriment de la société ?

Nous voyons s’accélérer la pauvreté en France et dans le monde. Nous ressentons la peur qui nous paralyse. Et, certes, comme dans toute guerre, on essaie d’en profiter pendant qu’il est encore temps.

Je vis un rêve : celui de voir le peuple imposer à notre Président la loi du bon sens et de l’évidence.

 

Les vents s’affolent

Les vents d’Est et du Nord dominent déjà, depuis quelques mois, le ciel de France en apportant le froid. Que s’est-il donc passé ?

Les vents du Sud sont rares et quand ils arrivent, ils nous apportent des milliards de tonnes de sable et ce, d’une manière répétitive. Nos météorologistes ne semblent pas en donner l’explication si ce n’est celle d’un Gulf Stream qui s’éloigne de nos côtes vers l’Ouest, vers les côtes américaines.

Cette mutation aura-t-elle de grandes conséquences ? Difficile de le dire et le dicton « en avril ne te découvre pas d’un fil, en mai fait ce qu’il te plaît » et là pour nous rappeler à la raison.

Nous voilà au mois de mai mais les vents froids du Nord sont toujours là et le soleil a bien du mal à nous apporter ses rayons pour chauffer mais aussi et surtout ses rayons ultraviolets pour détruire les virus. Et le COVID continuera à se développer ou à s’abriter dans tous les lieux ou espaces clos où les rayons du soleil ne parviennent pas.

Bien sûr, à partir du mois de juin jusque fin août, on verra une réduction des cas de contamination par le COVID, mais jusqu’à quand : jusqu’au mois d’octobre, et tout recommencera… avec plus ou moins d’intensité ou de dangerosité ?

Il faut aussi se souvenir que les vents d’Est sont souvent là pour nous rappeler que les pressions atmosphériques sont toujours plus élevées avec eux. Et il en découlera nécessairement davantage d’évolution de cancers. J’ai déjà eu l’occasion de dire que la nature a ses bons côtés mais qu’elle est l’ennemi le plus  juré de l’homme.

Les scientifiques nous disent que, dès la naissance, on possède en soi les germes d’un cancer. Ceci est faux : le cancer n’est pas une maladie. Certes il va se construire, au fil des jours, à chaque fois que la pression atmosphérique grandira et il le fera sans permis de construire.

Il faut donc stopper cette dérive de la nature en régulant, autant que faire ce peut, et pendant une durée minimum de 4 à 5 heures par jour, les effets de cette dérive des pressions atmosphériques en la maintenant artificiellement à 1013  millibars.

Alors, pourquoi 1013 millibars ? Tout simplement parce que l’homme, par nature, a besoin d’une température ambiante de 20 degrés pour se trouver dans un bien-être continu, de même qu’il a besoin de vivre le plus longtemps possible, chaque jour, à une pression de 1013 millibars. C’est ainsi qu’est conçu le corps humain. Il a ses règles, il faut les accepter.

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