L’école, oui, la santé d’abord

Il n’y aura jamais de bonnes études scolaires sans une excellente santé.

On mène nos enfants à parvenir à vingt ans ou vingt-cinq ans, mais ils ont déjà perdu 20 à 25% de leurs défenses immunitaires.

Ils n’auront utilisé la totalité de leurs neurones qu’à hauteur de 10%.

Ils auront beaucoup appris dans les livres et beaucoup perdu dans la possibilité de transmettre.

Ils auront réduit leur vie à une peau de chagrin et souvent dans de mauvaises conditions.

L’enfant, à peine arrivé au monde, voit déjà les premiers effets de la vieillesse. Il voit ses parents aux prises avec leurs problèmes de santé et ses grands-parents se débattre face à une vieillesse dégradante ; ils auront du mal à atteindre leur centenaire et pourtant, l’homme est conçu mathématiquement pour vivre jusqu’à 180 ans et 3 mois.

Cet enfant devra respecter les constantes de la vie souvent attaquées par les dérives de la nature. Car l’homme se trouve piégé ; il est persuadé qu’il est toujours en bonne santé, même à 80 ans. Ce qu’il ne sait pas, c’est qu’il est déchiré par des effets de la nature et, tout spécialement, par les variations des pressions atmosphériques qui tuent ses cellules.

L’homme a une bonne dizaine de constantes à respecter. Il s’est déjà attaché à réguler le froid et le chaud. Il s’est aussi attaché à dormir 7 à 8 heures par nuit. Il s’est attaché à boire une eau ou un vin sains, sans additifs.

Une bonne santé est nécessaire pour de bonnes études. Alors, commençons par le début : par la santé. On nous parle sans cesse d’une école rénovée mais rarement d’une santé rénovée.

Ne soyez plus l’otage de la nature

Gagner la bataille contre les dérives de la nature est un exploit accessible à tous.

Combattre l’invisible ne nécessite pas un microscope mais un régulateur qui rendra aux cellules l’oxygène dont elles ont besoin.

L’écrasement ou l’occlusion des nano-vaisseaux sont la cause de tous ces maux qui conduisent aux cancers, à l’Alzheimer, au Parkinson, à la maladie de Charcot mais aussi à l’arthrose.

Le dérèglement naturel des variations des pressions atmosphériques est la conséquence de tous ces maux.

La privation d’oxygène dans nos cellules entraîne aussi l’arrêt immédiat de la fabrication des globules blancs par la moelle osseuse ainsi que de l’insuline par le pancréas, sans oublier le liquide synovial de nos articulations et le liquide cérébrospinal.

Tout ceci réduit notre durée de vie et notre bien-être en général.

Ne soyez plus l’otage de ces variations. Rétablissons la constante et ce sera 250 000 morts de moins en France et 25 millions dans le monde, chaque année.

Réguler est l’affaire du régulateur Hygée !

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