Le thermomètre, le baromètre

Tout le monde possède un thermomètre chez soi, à peine 5% de la population, un baromètre.

Il existe d’autres appareils de mesure, du taux de sucre dans le sang, ou d’oxygène, sans oublier la tension artérielle.

Dans tous les cas, il s’agit de mesurer des variations à un moment donné. Si le thermomètre arrive à 40° et plus, au-delà de 48 heures, on parle de canicule.

Si la température de notre corps arrive à 39 ou 40°, on parle d’infection.

Si le pourcentage de l’oxygène dans le sang arrive au-dessous de 90%, il y a à s’inquiéter.

Si la pression atmosphérique, dont la constante est de 1013 millibars au niveau de la mer, atteint 1040 millibars pendant 24 heures, ce sont des milliards de cellules qui meurent et personne ne s’en inquiète ; on ne le ressent pas, on ne le voit pas.

Et pourtant, la mort de milliards de cellules va entraîner de lourdes conséquences, des conséquences qui pourront être létales. Apparaîtra alors la fatigue et des douleurs qui croîtront au fur et à mesure des années.

A ce jour, il n’existe pas de régulateur individuel de pressions atmosphériques.

Désormais, cet appareil existe et il s’appelle Hygée le régulateur.

www.hygeeleregulateur.fr

 

Des jours sombres

Monsieur Macron, dans son dernier discours, semble déjà les prévoir. La guerre est à nos portes.

Sommes-nous prêts ? Va-t-on, prendre les mesures qui s’imposent, en urgence ?

Aujourd’hui, veillons à ne plus rien demander de plus, mais à conserver ce que nous avons. On ne consacre pas suffisamment d’argent pour notre défense et probablement beaucoup trop pour notre bien-être que la guerre fragilisera.

On fait semblant de ne pas le voir mais viendra le jour où l’on devra supporter le désastre de la guerre, faute d’avoir prévu, faute de ne pas avoir protégé l’Ukraine.

Bien sûr, nous possédons l’arme nucléaire, mais est-elle le meilleur moyen de défense aujourd’hui ?

Un seul missile qui tomberait sur la France, et ce serait la panique car rien n’y est prêt. On pourra toujours s’enterrer mais pour combien de temps ? On pourra peut-être se battre, mais avec quoi ? Nos soldats sont en trop petit nombre.

Une seule action cybernétique de l’attaquant et tout s’arrête. On ne pourra même plus produire armes et munitions.

Le contrat de sécurité qui vient d’être signé avec l’Ukraine ne servira à rien s’il  n’est pas suivi d’actions. Il faut que ce contrat débute aujourd’hui dans les faits, et pas demain.

Nous ne sommes pas en guerre avec la Russie mais la Russie nous fait déjà la guerre. Pourquoi fermer les yeux ? Ne soyons pas naïfs. Notre liberté se gagne aujourd’hui en Ukraine !

Européens, de tous pays, nos nuits vont être hantées par l’esprit de guerre.

Soyons courageux, mettons toutes nos nouvelles demandes autres sous le boisseau et consacrons l’argent à  prévoir la guerre.

 

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