Oui, les éminents Professeurs, Perronne, Schwartz, Raoult et quelques autres, dénoncent tous aujourd’hui le scandale de l’affairisme et de l’incompétence d’un monde médical régi par l’OMS et par les Conseils de l’Ordre, sans oublier les Conseils Scientifiques. C’est ce que je dénonce depuis plusieurs années sur Twitter et sur mes sites.
En fait, le médical a voulu être un Etat dans l’Etat quitte à provoquer des coups d’Etats au profit des laboratoires scientifiques.
Tous ces professeurs ont mille fois raison. Détruire des monopoles n’est pas encore à leur portée. Il leur faudra aller plus loin en publiant les causes des grandes maladies, des cancers et l’origine des virus.
Eviter sera toujours plus efficace que de soigner car la prévention est toujours plus efficace. La prévention, c’est protéger le génie de l’humanité qui possède certainement le meilleur bon sens qui puisse exister. Les causes et les « comment » proviennent du bon sens car on ne se contente pas de dénoncer les causes et les origines. On apporte les solutions.
Mais, à votre avis, quel est à ce jour l’intérêt de ne pas agir ? Dans le médical comme en politique, comme en économie, il y a toujours un problème de fonds de commerce…
Les politiques vivent toujours dans la peur de ne pas être réélus ; ils ont peur de l’évidence qu’ils devraient appliquer. Ils ont peur de leur ombre et on me dira qu’ils sont là dans l’intérêt général ! Non, les politiques ‘aujourd’hui sont là simplement dans leur intérêt personnel.
Dans notre pays, quelqu’un qui dérange est souvent un dieu ou un imposteur. En fait, considérer aujourd’hui les éminents Professeurs Perronne, Schwartz et Raoult, comme des imposteurs, cela fait penser à l’époque où l’on crucifiait sans raison mais simplement parce qu’ils dérangeaient déjà les fonds de commerce des politiques et des spéculateurs.
Bien sûr, ces professeurs ne prétendent pas être des dieux ; ils ont le mérite du savoir, du constat, du résultat. Même si parfois il faudra aller encore beaucoup plus loin, ces professeurs ont le mérite de casser les barrières comme je l’ai fait moi-même contre les monopoles.
N’oubliez pas, Messieurs les Professeurs que le médical est devenu un monopole qui détruit tout espoir de vie.
Et quand le Professeur Perronne dit qu’on aurait pu éviter des vies, à mon petit niveau d’ingénieur, je le confirme. Moi aussi, je veux encore aller plus loin pour mon pays, lui apporter la grandeur et la force qu’il a toujours eues ne serait-ce qu’avec un petit grain de blé qui germera avec le temps.