Depuis plus d’un siècle, la vitesse a été multipliée par 100, l’information multipliée par 100, l’informatique multipliée par 100. L’énergie a été multipliée par 100. Le sanitaire, en général, a été multiplié par 20 et la pollution par 20.
On se réveille aujourd’hui en disant « la vie doit passer avant l’argent ». C’est ce qui nous vaut le confinement. Le monde entier a suivi cette philosophie. La nature, la santé, sont restées des parents pauvres. On a oublié qu’il n’y aura pas de bonnes économies sans une bonne santé.
On dit qu’il faut supprimer la pollution sans en prendre les moyens ; l’hydrogène n’est toujours pas à l’ordre du jour.
On dit qu’il faut arrêter, neutraliser le réchauffement climatique mais qu’a-t-on fait depuis cent ans ? On a produit du matériel, des machines, des voitures, des avions, etc., qui ont accéléré la pollution. On a laissé les déserts progresser en oubliant qu’ils étaient la cause du réchauffement climatique.
La santé a vu apparaître l’OMS, l’Ordre des Médecins, l’Agence du Médicament, les Agences Régionales de Santé, de monstrueux laboratoires, mais ces « machins », comme le disait le Général de Gaulle en parlant de l’ONU, ont apporté à la vie tous ces organismes fort coûteux qui émettent des ordres ou des constatations sans qu’ils ne soient jamais appliqués ou pris en compte pour la paix et pour la santé.
Dans tous ces machins, on a oublié d’éradiquer les maladies, les virus et même les bactéries. Qu’a fait l’OMS ? Cette forteresse qui devait informer a perdu tout son intérêt.
Les Ordres des Médecins sont des régulateurs mécaniques qui mettent les médecins dans une perpétuelle situation de prisonniers. Les chercheurs ne cherchent plus ; ils ajoutent des molécules pour faire des médicaments. Les médecins, dans la peur de se voir enlever leur charge, ne peuvent plus ni constater, ni sortir du cadre dans lequel ils sont enfermés. En fait, ils sont pris en otage, médecins comme chercheurs.
Il va falloir trouver une autre solution qu’un monopole. Pendant 30 ans il y a eu une clause de numerus clausus qui limitait le nombre de médecins ; on a vu ce que cela a donné. Et tous ces machins sont financés par l’Etat et part les médecins.
L’Ordre des Médecins a bloqué les médecins et chercheurs en les empêchant de constater et d’essayer d’inventer à partir de ces constats. En fait, tous ces machins ont renforcé le pouvoir des monopoles et demeurent entre les mains de quelques spéculateurs, mandarins ou autres, qui bien souvent ne savent pas grand-chose ou, en tous cas, ont oublié de rechercher ce pour quoi ils ont prêté le serment d’Hippocrate.
Les laboratoires font la pluie et le beau temps. Ils regorgent d’argent et achètent tout ce qu’ils trouvent pour gonfler leur fonds de commerce. Et quel en est le résultat ? Serait-ce celui de s’habituer à la maladie, serait-ce celui de mourir par des causes qui auraient dû être éradiquées ?
Le serment d’Hippocrate a été jeté aux orties, l’argent a pris sa place et pire, ils ont fait des médecins des gens asservis dans un cadre bien déterminés par eux.
Bien souvent, tous ces machins ne se développent qu’au mépris de la vie. Tous ces machins coûtent une fortune à l’Etat qui paye aveuglement, sans en faire le moindre constat d’incompétence.
Aujourd’hui, tous ces machins, de l’OMS jusqu’à l’Ordre des Médecins, qu’apportent-ils à la vie des hommes ? L’ONU est incapable d’appliquer ses résolutions dans les pays en guerre. Mais que fait l’OMS face à la guerre contre les virus est les cancers ? Qu’apporte-t-il ? Et malheureusement, les politiques suivent ces machins.
Et quand les docteurs tels que le Dr Laurent Schwartz et le Dr Raoult sortent du cadre, ils ont tous les foudres de guerre qui leur tombent dessus. J’espère qu’ils sauront tenir ; c’est cela la force de l’homme. Malheureusement, on est souvent seul contre tous. Le génie n’est pas la tasse de thé de tous ces organismes. Ils sont là pour se remplir les poches au détriment de ceux qui les financent.
Alors on va me dire : on a trouvé des vaccins !, peut-être mais a-t-on trouvé la cause du cancer ? Et même les vaccins ne vous protègent qu’à 30 ou 50% et les autres alors ? Que deviennent-ils ? Ce n’est que du travail à moitié fait. C’est identique pour le cancer : on en sauve quelques-uns et il tue toujours, rien qu’en France, 720 personnes par jour.
Alors, faut-il conserver tous ces machins ? Il est vrai que d’utiliser ce qui existe déjà, que ce soit le bleu de Méthylène ou la Chloroquine, qui sont aujourd’hui à des prix accessible à tous, n’accroîtrait pas leur fonds de commerce.
Mais aujourd’hui, on s’aperçoit que quelques virus peuvent mettre à genou de grandes nations. Évidemment, on pourrait penser que ce soit une arme pour dominer le monde. Et cela n’est pas non plus venu à l’esprit de tous ces machins. N’importe quel pays peut envoyer ailleurs un Cheval de Troie et s’accaparer du pays. Il faut se mettre dans la tête que les virus, comme les grandes maladies, ne pourront être éradiqués que par des moyens naturels.