Le réacteur social comprend aussi le scolaire et le savoir, gratuits pour tous.
Aujourd’hui, il n’y a plus de compétition à l’école ; il n’y a plus de diplômes dignes de ce nom. Il s’agit simplement un certificat probatoire : on a suivi un certain nombre de cours.
L’excellence n’existe plus ; ceci est valable dès l’entrée à l’école jusque dans les Grandes Écoles. On vous donne, à la fin de x années de présence, un certificat de suivi des cours de « telle » école et sa notoriété fera le reste. Il en reste un « acquis » mais sans savoir en faire la synthèse et en déduire l’utilité pour réaliser la compétence que l’on en attend dans le monde du travail.
Il faut rétablir l’excellence sans pour cela abaisser le niveau des autres. Il y a de la place pour tout le monde dans ce monde du travail. Il faut toujours des chefs d’orchestre pour aider l’excellence à se réaliser.
Le réacteur social doit être aussi une solution pour réaliser un pouvoir d’achat et faire de sa vie un idéal. Il est le propulseur pour réaliser ses espérances. C’est aussi le réacteur de l’avenir, un avenir qui évolue à la vitesse de la lumière car on utilise malheureusement toujours les solutions et les lois du passé.
Aller de l’avant, c’est souvent remettre en cause le passé, nos habitudes, notre savoir-faire, nos écoles, notre politique. Le réacteur social, c’est le futur de nos enfants.
Le réacteur sanitaire est également indispensable dans toute économie.
Dans l’avenir, il dépendra de la formation que l’on aura donnée à nos médecins et à nos chercheurs. La mondialisation nécessite d’être propulsée en permanence mais il ne peut y avoir de propulseur économique sans un propulseur sanitaire.
Il n’y a pas de bonne économie sans une bonne santé. Et aujourd’hui le sanitaire n’est plus à la hauteur de nos espérances. Il s’est contenté d’utiliser le passé de certains grands hommes mais il n’a plus inventé grand-chose. Il n’a pas intégré les découvertes du passé et tout spécialement la découverte des effets de la pression atmosphérique sur notre corps.
Le réacteur sanitaire se doit de donner à l’homme une vie sans grandes maladies, sans fatigue, sans virus, et tout ceci peut se faire par le bon sens ; par le constat… mais il est toujours plus difficile de faire simple que de faire compliqué.
On dépense des sommes fabuleuses pour rechercher ce qui est visible à l’œil nu. Certes, on découvre tous les jours de nouvelles étoiles avec des télescopes électroniques. On a utilisé des moyens gigantesques pour aller sur la Lune mais qu’a-t-on fait pour mettre fin aux cancers et aux grandes maladies ?
On a simplement utilisé la biologie et la chimie pour avancer mais elles n’arrêtent ni le cancer ni les virus.
Qu’a-t-on apporté à l’homme ? C’est l’utilisation des réacteurs social et sanitaire qui fera naître le réacteur économique.
Ces trois réacteurs ensemble pourront enfin nous apporter un nouveau monde, une nouvelle vie. Toutefois, pour cela, il faut que l’on efface certains intérêts, certaines spéculations, certains monopoles et certaines lois qui ne sont plus d’intérêt général. On ne peut pas faire de l’économie avec de tels freins.
On a oublié de mettre l’homme au centre de notre économie. On a oublié que l’on pouvait faire vivre l’homme plus longtemps, en pleine forme. C’est pourquoi ces trois réacteurs se complètent mais notre économie ne décollera jamais si les trois réacteurs ne fonctionnent pas ensemble.
Et pourquoi trois réacteurs ? Tout simplement que parce que notre vie de tous les jours nécessite un trépied : l’homme reste debout, sur ses deux jambes, certes, mais aussi la pression atmosphérique qui lui donne l’équilibre.
J’essaye d’apporter la solution : construire, pierre par pierre, l’édifice de demain, c’est faire fonctionner ces trois réacteurs dans l’intérêt général et non pas par la spéculation de quelques-uns.