Permettez-moi à présent de vous souhaiter une bonne et heureuse année.
Le Père Noël vous a laissé des cadeaux. En cette période difficile, pour économiser son voyage, il lui est demandé de remplir sa hotte de virus. Ensuite il doit les envoyer plus près du soleil pour qu’ils puissent mourir en paix. Et oui, dans cette période difficile, on doit toujours économiser le transport !
En effet, Noël, c’est le renouveau, c’est l’espérance, et, demain, ce sera le Nouvel An. C’est parfois prendre des décisions et des décisions importantes vont devoir être prises.
Tout d’abord, en finir avec le virus en le tuant définitivement par la chaleur et les rayons ultraviolets.
De plus, la seconde décision sera de penser à notre économie en modifiant immédiatement ce qui coûte le plus cher et qui nous empêche d’avancer. Ce qui nous empêche de rentrer dans la mondialisation, c’est le financement de la Sécurité Sociale. Monsieur le Président, rendez lui sa liberté, décharger le travail pour qu’il puisse rendre notre économie compétitive.
En ce début d’année il faut aussi avoir une pensée pour tous ceux qui n’ont pas de travail. Ce que je vous propose est la solution du travail pour tous.
En conclusion, il ne faut pas se plaindre. Il faut faire ce qui doit être fait quelles qu’en soient les difficultés et quoi qu’il en coûte, Monsieur le Président.