Le monde de l’invisible, cent fois plus fort

Le monde de l’invisible est cent fois plus fort, plus important, plus efficace, plus organisé que ce que nos yeux s’efforcent de voir. Mais il a aussi ses failles, comme toute chose.

La faille est dans ses rangs par l’utilisation des rayons invisibles des ultraviolets. Cette civilisation est mondiale, à notre connaissance, mais elle est peut-être beaucoup plus intersidérale.

Dans cette civilisation, il y a ce que l’on appelle les anges blancs et les anges noirs, il y a le bien et le mal. Cette civilisation d’invisibles, nous pouvons la combattre en insérant dans ses rangs un invisible plus fort et plus dangereux pour elle.

C’est peut-être notre avantage et notre chance d’avoir une longueur d’avance sur l’invisible, pour le combattre.

Il nous faut donc organiser la guerre contre les anges noirs. Ce sera le rôle de notre armée ; elle a l’habitude de pourchasser les Djihadistes, elle prendra l’habitude de chasser l’invisible dangereux avec ce que je propose et qui est une lutte à l’extérieur du corps humain, par la solution que j’ai déjà annoncée : l’opération Héra », pour éradication.

Quand on veut gagner une guerre, il faut en prendre les moyens. Vivre « avec » n’a jamais été français, ce n’est pas dans nos habitudes. Nous n’arriverons à la paix que si nous menons la guerre. Nous devons prouver à l’invisible que nous sommes dotés d’une intelligence, d’un esprit de synthèse, et que rien pour lui n’est gagné d’avance.

Vous allez me dire : vous considérez le virus comme un être vivant ! Peu importe comment on l’appelle, le fait est qu’il détruit l’homme et seule une opération Héra nous ramènera la paix sociale, économique, et que nous souhaitons.

L’État ne connaît que le répressif, par incompétence

L’État providentiel, imaginatif, conquérant, à l’écoute, a disparu.

On ne parle plus, on essaie d’exécuter ce que l’on croit être la solution et dont on sait parfaitement que ce n’est pas la solution.

Aujourd’hui, on continue à soigner les désastres provoqués par le virus. On se contente de soigner les blessés au champ de bataille.

L’État n’est qu’un chien-loup dans notre société ; il dévore tout ce qu’il peut et n’apporte pas grand-chose. On magouille, on protège sans résultat, on distribue de l’argent que l’on n’a pas. Puis on attend que le virus meure de sa belle mort. On a peur des syndicats car ce qui est proposé n’est que mascarade et spéculatif. C’est toujours pour quelques-uns et jamais pour tous.

Comment, dans ces conditions, unir les Français ? On aura toujours besoin d’encore plus et plus de policiers qui, eux-mêmes, ne sont plus convaincus de ce qu’ils font.

On estime que notre avenir est dans un combat perpétuel contre l’ennemi.

Ne ferait-on pas mieux d’utiliser cette énergie pour améliorer la vie et la santé des gens ?

L’État est une machine à broyer, que ce soit pour la justice, que ce soit pour tous ceux qui veulent innover : on veut toujours empêcher la création, l’innovation, le bon sens, l’évidence. Trop souvent, ce sont des égos qui conduisent notre population à la colère. Et l’on a oublié l’intérêt général.

On dit que l’argent mène le monde ; aujourd’hui je dirai que les virus et les cancers détruisent le monde. Et pourtant les solutions existent mais on se refuse à ouvrir les yeux. C’est ce qui a différencié, d’ailleurs, les hommes comme de Gaulle à tous les autres Présidents. On a la peur de ne pas être réélu, comme si c’était une déchéance. Mais ce que vous faites aujourd’hui par une police qui cherche à effrayer les gens ne conduira nulle part et même pas à votre réélection.

Les vrais problèmes restent dans les tiroirs : on se refuse à les aborder, on a peur mais la peur, aujourd’hui, elle est dans la population. En un mot : les dirigeants ont peur, la population a peur et ce n’est pas dans ces conditions-là que l’on peut faire vivre un pays.

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