Le droit de chacun, le devoir de tous

Dans la période des six mois qui viennent, le devoir de tous doit primer sur le droit de chacun.

Cela va être nécessaire pour les salariés, pour le droit à l’emploi, mais aussi pour les femmes qui ont des droits parfois bafoués. Pour elles, le premier des droits serait d’obtenir de l’Académie Française que les accords grammaticaux du pluriel ne soient pas systématiquement masculins. Dès les premiers jours d’école, on inculque la suprématie du masculin sur le féminin. Il est donc du devoir de l’Académie Française de rectifier cet oubli.

Le droit des charges sociales sur le travail doit devenir le devoir de l’Etat. Le problème de notre pays, c’est de pouvoir vendre ce que l’on produit, c’est le profit de la production qui doit permettre le social. Il n’y aura jamais un social pour tous sans un travail pour tous.

Il faut mettre toutes les réclamations, non obtenues par le dialogue, sous le boisseau pendant six mois. Je tranquillise déjà la population française : il n’y aura pas de deuxième vague de Covid-19 si l’on prend le soin de détruire le virus là où il vit, c’est-à-dire dans le froid. La contamination existe mais elle n’est pas l’essentiel, il faut éviter déjà d’être contaminé. Et nous savons le faire, faut-il encore avoir le courage d’appliquer ce qu’on sait faire par la chaleur à 40° couplée de rayons ultraviolets. Nous n’avons pas de vaccin ni de médicament miracle : alors, évitons d‘en avoir besoin.

De toute manière, que ce soit pour les virus ou pour les cancers, il faut accepter de se protéger, non pas par des masques, mais en tuant les virus et en régulant les causes du cancer.

Se protéger, c’est aussi l’intérêt de la France. C’est le moyen de produire plus en pleine forme et sans fatigue. Les solutions que je propose contre les virus devraient être mises en place immédiatement, les couloirs sanitaires chauffés et équipés de lampes et de tubes à ultraviolets par intermittence et sans minuteur dans toutes les chambres, entrepôts, comptoirs frigorifiques car nous savons, à présent, que des abattoirs deviennent des nids à virus.

C’est un devoir de se protéger, c’est un devoir pour l’Etat de faire le nécessaire pour éviter.

Tous ces devoirs et ces droits vont entraîner l’installation d’entreprises pour produire, soit ces lampes et ces tubes, soit des régulateurs de pressions atmosphériques. C’est un devoir pour l’Etat de créer des emplois. En voilà un qui permettra de créer plusieurs milliers d’emplois.

Il serait quand même dommage qu’une fois de plus, par facilité, on se tourne vers la Chine pour nous fournir ce matériel. Ce serait une collaboration encore plus grave dans un contexte économique épuisé.

Le devoir de chacun n’est pas aujourd’hui d’être à la fête mais de survivre.

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