Le constat, la chance, le hasard

Edward Jenner a découvert la vaccination contre la variole non pas par hasard mais en constatant que des vachers n’étaient pas contaminés par le pis des vaches mais au contraire immunisés.

Alexandre Fleming a découvert la pénicilline par hasard.

Je pense que cette sérendipité est plus l’affaire du hasard que celui de l’invention et dans toute découverte, il y a une part de chance.

Ces scientifiques ont tous changé le cours des choses de la médecine.

Cette dernière soigne un mal, Hygée le régulateur évite et stoppe le développement des grandes maladies en éliminant la cause.

Cette découverte, je l’ai constatée vu l’accroissement des décès durant les périodes de dérive des hautes et basses pressions.

J’ai alors inventé la solution pour mettre fin à la cause ; ce fut la création d’Hygée le régulateur.

  • Hygée évite la destruction de notre système immunitaire, à l’origine de toutes les grandes maladies, faute de combattants.
  • Hygée n’a rien de médical, il est simplement le régulateur d’une dérive de la nature et le maintien d’une constante vitale.
  • Hygée évite la vieillesse et prolonge la vie en la doublant.

Il faut savoir que la durée mathématique de notre vie est de 180 ans et trois mois.

Et, grâce à Hygée, ce sera en pleine forme tout au long de cette vie jusqu’à l’arrêt du moteur.

Dès notre conception, nous subissons les foudres de ces variations de pressions.

Ma chance a été de rencontrer une mathématicienne, Mireille Dumas, qui m’a expliqué le fonctionnement des cellules et leur possibilité de vivre 24 h avec leur petite réserve d’oxygène.

C’est pourquoi j’ai choisi d’utiliser Hygée le régulateur la nuit, en dormant, ce qui ne provoquera aucune rupture de l’alimentation des cellules en oxygène.

C’est aussi grâce à un groupe de médecins qui ont mis à jour la totalité du système sanguin en démontrant que le dernier tronçon qui relie l’artériole  à la cellule est un film non protégé qui s’écrase à la moindre surpression.

En revanche, c’est par hasard que j’ai fait la jonction entre les deux et que j’ai inventé le moyen que ce petit tronçon ne s’écrase plus ou, tout du moins, plus de 24 h consécutives.

 

Ne pas croire en la victoire

Ne pas croire en la victoire, c’est déjà accepter la défaite.

Les Occidentaux émettent des doutes sur la victoire de l’Ukraine ; ils lui font un mal désastreux d’autant plus qu’ils mettent un temps considérable à fournir les munitions nécessaires.

Les difficultés de l’Ukraine aujourd’hui proviennent de l’Occident et non de la Russie.

Heureusement, les Ukrainiens sont d’un courage exceptionnel et ont pu repousser partiellement les attaques de la Russie.

Il n’est pas exclu que Monsieur Zelenski puisse être en Crimée pour Noël.

La situation russe est loin d’être aussi bonne que l’on nous le dit ; ce n’est qu’un prétexte pour retarder les livraisons d’armes et de munitions.

Ce n’est pas seulement avec de l‘argent qu’on gagnera la guerre mais avec la mobilisation d’un peuple agressé qui veut conserver sa liberté.

Nous, Européens, nous considérons la liberté comme un acquis définitif, comme une évidence ; prenons garde.

Si 27 pays unis ne peuvent alimenter en armes et munitions l’Ukraine, c’est déjà l’annonce d’une défaite européenne.

Certes, la guerre va provoquer une inflation encore plus grande, peut-être jusqu’à 50%, mais rappelons-nous que la liberté n’a pas de prix.

Et la guerre, c’est comme un verre d’eau qui éteint le feu au bout d’une minute mais qui, au bout de quelques heures, nécessite des tonnes d’eau.

Sauvons notre économie par notre richesse intellectuelle, par nos découvertes, par un dispositif sanitaire qui redonnera à la France et à l’Europe puissance physique et endurance.

Nous allons en avoir besoin.

Rappelons-nous que la chance sourit toujours aux audacieux.

Prenons-en  le risque.

 

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