Le bas de laine des Français

Une inflation de 40, voire 50%, c’est réduire d’autant le bas de laine des Français qui est composé d’avoirs en Caisse d’Epargne, en banque, en contrat d’assurance-vie ou obsèques, de tous genres.

Il faut bien se dire et faire comprendre que l’inflation, c’est de ne plus pouvoir acheter les mêmes produits au même prix.

C’est un cycle infernal, comme cela s’est passé en 1945 où 1 000 francs possédés en 1939, sont devenus 200 francs après guerre.

Nous prenons ce chemin. Ce n’est pas la somme que l’on a qui compte, c’est ce qu’on peut acheter avec. L’inflation tue les possibilités de chacun des individus comme des pays, et ont pour conséquences d’entraîner la fonte des bas de laine.

Il va falloir retrousser ses manches. Les banques vont exploser. Et quelle sera la notation de nos pays ?

Ce n’est pas la faute des gouvernements, pas plus que la guerre en Ukraine. Cette inflation planait depuis près de 40 ans. La guerre en Ukraine n’a fait que faire sauter le bouchon mais pas le contenu qui était déjà explosif.

L’Europe est encore debout, et elle s’en sortira. Elle sera là pour reconstruire l’Ukraine mais les prix vont suivre l’offre et la demande. On va assister à une explosion des prix en raison de la rareté des produits.

Plus que jamais, notre santé sera nécessaire pour remonter la pente.

A mon petit niveau, je vous propose d’apporter sur un plateau la possibilité d’une santé forte, longue, sans maladie.

Rappelons-nous qu’il n’y a pas une bonne économie sans une bonne santé. En un mot, la santé, par elle-même, est un trésor qu’il faut préserver.

 

 

Ce qu’on apprend dans les Grandes Ecoles

Ce que l’on apprend dans les Grandes Ecoles n’est pas nécessairement ce qu’on attend pour un gouvernement.

Aujourd’hui, nos difficultés ne proviennent pas des élèves mais du fait que l’on n’apprend que le passé et rarement le futur.

Ce qui est encore plus grave, c’est que, dans nos facultés, nous avons 30% d’étrangers à qui on aura tout donné et que l’on retrouvera très vite contre nous quand ils rentreront dans leur pays. Et oui, c’est ceux à qui on a le plus donné que l’on retrouve sur sa route.

Aujourd’hui, nos écoles enseignent le moyen de gagner de l’argent mais pas les moyens de notre énergie future.

C’est sur le terrain où l’on travaille que quelques génies découvriront la technologie du futur par l’évidence. A l’école, on se sert des livres du passé mais on ne crée pas les livres de demain.

La France est une bonne mère mais pas toujours désintéressée. Elle espère trop souvent se servir des étudiants pour réaliser le passé mais rarement pour réaliser le demain.

Ce n’est pas ainsi qu’on doit voir l’avenir. Ce n’est pas ainsi que l’on redonnera vie à l’homme. On se contente de ce que l’on a et l’école devrait pourtant nous mettre au pied du mur de l’invisible et de ce que l’on n’a pas encore découvert. C’est le rôle de l’école.

Un chercheur devient rarement riche et ceux qui découvrent, sont trop souvent utilisés par la spéculation.

 

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