La nature ne connaît pas la paix

La guerre tue sur les champs de bataille, la nature tue à petit feu sur toute la
surface de la terre et sans la moindre paix.
L’humain cherche sans cesse à conserver la paix. La nature ne connaît ni la paix,
ni l’armistice.
La nature fait feu de tout bois pour tuer, pour faire souffrir. La nature n’a ni
hôpitaux, ni médecins, elle ne connaît que la force mécanique qui permet de
réguler sa puissance néfaste en un lieu et un temps déterminé.
Oui, l’homme doit jouer à cache-cache en permanence avec les moyens dont il
dispose. Oui, l’homme doit se protéger : il ne changera pas la nature mais il
peut et doit s’en protéger.

Les puissances destructrices de la nature

Les séismes, les tsunamis, les éruptions volcaniques, les cyclones, les tempêtes,
les inondations, les sauterelles, les sables du désert transportés à des milliers
de km, la foudre qui n’épargne personne, tout ceci n’est que ponctuel.
Il y a beaucoup plus grave : la nature détruit sans rémission l’être humain par
ses variations de pressions atmosphériques et ce, dans le monde entier à raison
de 20 à 25 millions de morts chaque année.
Il n’est pas question de supprimer ces facteurs de mort mais on peut les
réguler, les éviter et s’en protéger.
La plupart de ces facteurs sont visibles et ressentis immédiatement tandis que
les variations de pressions atmosphériques sont invisibles et non ressenties, et
elles sont, de loin, les plus dévastatrices et de manière répétitive, chaque jour,
chaque année.
Je pense que l’on devrait faire de l’année 2023, l’année des pressions
atmosphériques mais ce sera aussi l’année des cancers, des Alzheimer, des
Parkinson et de toutes les maladies cardio-vasculaires et cérébrales.
On consacre déjà des milliards chaque année et depuis longtemps à la
recherche des moyens pour soigner toutes ces maladies qui découlent des
effets néfaste de la nature.

Il y a des milliers de chercheurs qui cherchent et ne trouvent pas et je serais
tenté de rappeler la phrase du Général de Gaulle : « je préfère un chercheur qui
trouve qu’un chercheur qui cherche ».
Tous nos chercheurs sont dans des laboratoires et aucun d’entre eux n’a remis
en cause les pressions atmosphériques.
Si la pression de base est de 1013 millibars pour près des deux-tiers de la
population, elle est moins importante quand on vit en altitude.
Ce n’est pas la valeur initiale qui est importante, ce sont les variations de part
et d’autre de la valeur initiale qui sont les tueuses.
Et ce sont à ces variations-là que sera opposé le régulateur Hygée.

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