La lumière est le fournisseur millénaire de l‘ultraviolet ; elle a fait ses preuves.
La lumière est une mécanique indispensable à la vie telle que nous la connaissons.
Sans la lumière, nous serions envahis par les virus, par les bactéries, par les champignons.
La lumière contient en elle tout ce qui peut aider à vivre, de l’infrarouge à l’ultraviolet. Que serait notre vie sans couleurs, sans perspectives ? Une vie sans lumière est un autre monde que vivent les non-voyants. La technique pourrait peut-être y remédier. C’est un souhait, aujourd’hui, et probablement une réalité de demain.
Je pense qu’aujourd’hui beaucoup de nos chercheurs sont, eux-aussi, dans la nuit ; ils sont dans un autre monde. Ils ont bien du mal à ouvrir les portes de la lumière, ils sont non-voyants. Soigner est la loi du cœur, éviter est la loi de la vie. Il faut écarter de l‘homme ce qu’on appelle les anges noirs qui détruisent la vie.
Comme l’oxygène est indispensable à notre vie, la lumière fait de nos vies le chef-d’œuvre des couleurs et des formes.
Personne ne pense être privé une seconde de la lumière ; elle nous conduit dans la vie. Elle est la main qui nous est tendue, la main qui conduit aussi les aveugles à déchiffrer le Braille. Alors, il est quand-même terrible que dans un pays qui se dit être le pays des lumières, on ne puisse déchiffrer la lumière.
La lumière, l’ultraviolet, les pressions atmosphériques, régissent la vie.
Et quand viendra le soleil de l’été, on trouvera tout à fait normal qu’il n’y ait plus de cas de virus. Les chercheurs devraient au moins se poser la question en sachant déjà qu’un virus ne vit que quelques minutes sous les rayons ultraviolets, les rayons du soleil.
Ce que l’on n’a pas encore compris, c’est que le soleil ne pénètre pas partout et que, contrairement à ce que l’on croit, le virus est un esprit, il est intelligent, il sait aussi se protéger, et mieux que nous. Il sait se placer là où il peut vivre tranquillement, à des températures de 0 à 10°.
Alors, chercheurs et politiques de notre pays, réveillez-vous : on ne peut pas vivre avec l’occupant. Un occupant, c’est la fin de la démocratie, c’est la fin de notre vie.