La loi, les règles, le bon sens et l’évidence

Voilà quatre mots qui ne vont pas ensemble.

Il y a un moment où il faut savoir se mettre hors la loi, hors les règles et reprendre le  bon sens. Je l’ai prouvé en me mettant quatre fois hors-la-loi pour casser des monopoles. A chaque fois, il y a toujours un intérêt quelque part qui n’est pas l’intérêt général.

La médecine a échoué. Je ne vois pas pourquoi on applique encore ses données. N’est-ce pas plutôt pour mettre les Français sous cloche ? Mais, attention, une bête sous cloche devient dangereuse. Etre sous cloche, c’est engendrer la colère à tous les niveaux.

Il va falloir soulever la cloche même si c’est contre la loi. S’il y a encore aujourd’hui des morts par coronavirus, l’Etat en est largement responsable pour ne pas avoir fait et ne pas faire ce qui est nécessaire pour couper sa source. Et ce qui est fait est fait à contretemps avec un retard considérable. C’est ce qui a permis l’invasion au printemps de la COVID-19 et ce sera probablement la même chose l’hiver prochain pour la grippe.

La médecine a pris le pouvoir, le politique en est l’otage. Une fois de plus, on se retrouve face à la loi, une loi contestable ou des règles contestables et insensées, inapplicables dans notre démocratie. Faudra-t-il se mettre hors-la-loi dans l’intérêt général ?

Une fois de plus on voit où nous conduit le système monopolistique de l’industrie pharmaceutique, comme en économie.

On est en train d’assouvir la population française qui travaille et qui a besoin de tout l’oxygène de l’air pour réaliser son travail.

Eh oui, c’est cela l’invisible ; on peut comprendre que nos dirigeants ne le voient pas, d’abord parce qu’ils n’écoutent plus et ensuite parce qu’il n’existe plus de dangerosité de la COVID-19. De toute manière ils n’ont rien fait et ne feront rien pour l’éradiquer.

Les masques vont inévitablement entraîner de nouvelles maladies cardiaques et respiratoires. Imposer le masque est une faute grave, surtout pour les cardiaques et les asthmatiques.

Si l’on fait aujourd’hui l’addition de tout ce qui aura été dépensé, en provenance des laboratoires pour la plupart, c’est une montagne d’argent que le peuple a dû payer et paiera encore.

Le masque, déconseillé il y a à peine six mois, est aujourd’hui imposé. On fait un mauvais rêve ! Ce qui était censé au début de la pandémie, devient ridicule quand la pandémie a disparu. Qui a-t-on voulu protéger ? Le peuple ou les laboratoires ?

Cela me ramène à la citation de Machiavel «  celui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes », et j’ajouterai «  de leur intelligence et de leur liberté, en les asservissant.

Non, Monsieur le Président de la République, on ne peut pas accepter cela, ce n’est ni dans l’intérêt général, ni dans l’intérêt médical. Nous sommes dans un trou économique, ne le transformant pas en un gouffre sans fond.

Je pensais, Monsieur le Président, que vous étiez le premier de cordée pour gravir la montagne, c’est le moment de le prouver car d’un gouffre sans fond, on ne remonte pas. Alors évitons de plonger dans ce gouffre.

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