Il faut y croire

De l’argent, de l’argent au travail tout comme chez soi : un nouveau monde est né.
Par l’invisible tout est possible. Avec l’invisible, du refus de l’autre apparaît la joie d’être
ensemble.

L’invisible possède quelque chose de mystique pour tous. L’invisible, c’est un subconscient
dégagé pour l’avenir.
En lisant l’invisible, on découvre la puissance de la nature, du bien comme du mal. En lisant
l’invisible, on se rend compte que la simplicité est devant nous : il suffit d’avoir le sens d’un
aveugle qui, de par sa cécité, a des talents cachés.
Le monstre de l’invisible ne l’est pas pour tous les êtres de la Terre. Il en est qui, dans la
faune, voient ce que nous ne voyons pas ; c’est ce qui leur permet de se protéger. Quant à
nous, nous sommes tous des aveugles face à l’invisible. A nous d’en tirer quelques talents.
Je ne suis pas totalement aveugle ni totalement voyant mais ma simplicité à rechercher et à
constater, m’a conduit à dévoiler la cause du cancer et des grandes maladies. Cette chance
va nous conduire à nous protéger de ce monstre.
Ce qu’il y a de plus grave et de plus surprenant, c’est que tous les jours vous entendez parler
de ce monstre dans les bulletins météo.
Oui, je demande à tous, aujourd’hui, pour pouvoir vivre longtemps en bonne santé et en
pleine forme, pour éviter le cancer et les grandes maladies et même pour éviter leur
développement pour ceux qui en sont atteints, de se protéger du monstre et cela est d’une
simplicité infantile.
Mieux vivre, mieux se supporter, en pleine forme, le plus longtemps possible, voire jusqu’à
120, 130 ou 140 ans ; il n’y a pas de grande limite.
La maladie ou la mort ou tout ce qui se passe dans ce monde, n’est pas une fatalité ; il y a
toujours une cause et je peux comprendre qu’on l’ait oubliée, parce qu’elle était invisible.
A tous les gouvernants de prendre aujourd’hui leurs dispositions, ne serait-ce que par le
principe de précaution imposé par le Président Jacques Chirac, à l’époque.
L’investissement, pour l’ensemble de la France, sera de quelques milliards pour une
économie annuelle de plus de 500 milliards dans laquelle est comprise une plus grande
compétitivité car quand on est en pleine forme, on n’est rarement absent et on travaille plus
facilement.

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