Il faut être réaliste

Les réserves financières, les caisses de retraite au niveau de 68 milliards, auront quelle valeur en 2030 suite à une inflation de 40 à 50% d’ici là ?

L’Etat se sera accaparé, par l’inflation, de la moitié de ses réserves mais ce ne sera toujours qu’une goutte d’eau dans la mer de notre dette.

Mais où va-t-on ?

On entre dans un désert économique sans prendre la moindre mesure créatrice.

Rien ne sera possible si l’on ne prend pas la bonne voie qui permettra de redonner aux Français force de vie et de conserver la totalité de leurs capacités physiques et intellectuelles.

Hier, il y avait le problème des Gilets Jaunes. Hier et aujourd’hui, il y a le COVID. Cet été, il y a eu la sécheresse.

Depuis deux ans, il y a la guerre et elle s’étend partout dans le monde. Demain, on devra combattre les punaises… !

A tout cela vient s’ajouter l’inflation et la pénurie de matières premières. On se doit aujourd’hui d’acheter à peu près tout à l’étranger.

On est peut-être allé trop vite dans le domaine social ; on n’a pas prévu le coût sur l’économie.

Il faut être réaliste : ce n’est pas en vidant les caisses que l’on parviendra à redonner à la France sa place dans le monde.

La France est en faillite virtuelle.

Tout le monde est d’accord pour davantage de santé, pour plus de bien-être, mais ce sera dans une autre vie où l’on respectera  les constantes nécessaires à une vie en pleine forme et plus longue.

Ce qui est accablant, c’est que déjà, à présent, nous avons les moyens de parvenir à ce nouveau monde, que ce soit au plan de la santé, que ce soit sur le plan de l’énergie, que ce soit sur le désir des Français de mieux faire pour une France rénovée et admirée du monde entier.

Alors, pourquoi ne pas le faire ? Aujourd’hui, la France n’est plus qu’un point sur la mappemonde et ne rayonne plus.

Ce n’est pas un problème territorial, somme le pense Poutine si ce n’est que pour détruire.

La France a toujours su se relever et elle le fera.

Il faut oser remettre en cause la vieillesse et la mort

Oui, il nous faut remettre en cause tout ce qui est monopole, mais d’abord ou simultanément, tout ce qui est le tabou de la mort, de la vieillesse, de la maladie.

C’est une histoire de fou, n’est-ce pas ? Non, ce n’est que remettre au grand-jour les mathématiques, le bon sens et l’évidence.

On ne meurt pas par hasard si ce n’est par accident, mais c’est uniquement pour ne pas avoir respecté les constantes qui régissent la vie.

Dès notre naissance, on se laisse bercer par ce que l’on appelle le bien-être. N’est-ce pas plutôt s’offrir à la faux de l’Ankou ?

Nos parents ont toujours fait pour leurs enfants ce que l’on appelait le bonheur ; ils ont simplement oublié de vous mettre à l’abri des maladies, de la vieillesse et de la mort. Ils n’ont pas respecté les constantes  nécessaires à la vie, tout simplement parce que la médecine les avait oubliées.

Il suffit d’une seule constante oubliée pour que notre mécanisme humain se détraque.

C’est ce qui s’est passé en oubliant la constante des pressions atmosphériques de 1013 millibars (au niveau de la mer).

Pour beaucoup d’autres constantes tout a été fait mais la plus mortelle de toutes et celle qui prive nos cellules d’oxygène sous l’effet des variations des pressions atmosphériques ; on en subi les conséquences mortelles.

C’est tout l’objet d’Hygée le régulateur ; Hygée est la déesse de la vie et du bien-être.

 

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