Il faut choisir entre la douceur de la paix après avoir vaincu l’occupant ou accepter l’occupation.
Et tout ce qui l’entoure, ce désastre.
Il faut choisir entre un vaccin qui protègera peut-être près de 50% de la population et un simple coup de balai qui tuera les virus et, pour le moins, les neutralisera.
Si les mots sont forts, l’un conduit à la paix, l’autre à la déroute économique et vitale. Bien sûr, il est difficile de se protéger avec une ligne Maginot. Elle incite plutôt à l’invasion.
Ce que je propose, ce n‘est ni le vaccin, ni l’occupation, mais simplement une paix, avec des moyens naturels, pour combattre les dérives de la nature.
Il semblerait que le virus était endormi dans la glace et quand la glace a fondu, il a circulé.
Il semblerait aussi que les glaces, glaciers ou pôles, soient pleins de virus, parfois millénaires. Alors, quand on en aura fini avec l’un, il faudra recommencer avec l’autre parce qu’on n’aura rien fait, non plus, pour empêcher le réchauffement climatique.
L’entêtement des dirigeants à ne pas vouloir couper ce cheminement des virus nous conduit et nous conduira à des catastrophes humanitaires sans précédent à moins que le soleil et le bon sens ne viennent tout arranger. Mais ce ne sont pas quelques jours de douceur qui peuvent faire abaisser la garde car le soleil du printemps n’est pas encore là et encore moins celui de l’été.
Prudence, Monsieur le Président, avec les confinements. Oui, ils peuvent être nécessaires à condition qu’ils soient aux alentours de 30° ambiants, sinon ils ne protègent qu’à 50% de la population.
Rappelez-vous Monsieur le Président, la parole de Machiavel : « celui qui contrôle la peur des gens, devient le maître de leurs âmes ».
Je ne pense vraiment pas, Monsieur le Président, que vous souhaitiez un régime totalitaire.
Toutefois, Monsieur le Président, même le Général de Gaulle a été contraint à utiliser les ordonnances pour imposer sa volonté. Nous en sommes en guerre, avez-vous dit, alors utilisez vos chars pour assurer la désinfection généralisée.
Tout ce que l’on nous propose aujourd’hui n’est que du bricolage, on n’est même pas certain que le vaccin qu’on nous propose réponde aux critères habituels d’un vaccin.
Monsieur le Président, à toute chose malheur est bon. Profitons de cette occasion pour réaliser que le réchauffement climatique n’est pas un vain mot même si parfois il apparaît sous une autre forme.
L’entêtement ne conduit nulle part et les solutions proposées aujourd’hui ne semblent qu’être médicales.
Les scientifiques n’ont jamais réussi à retirer l’épée de Damoclès sur nos têtes. Ils ont soigné virus et cancers mais ceux-ci sont de plus en plus visibles et atterrants.
Alors, acceptons peut-être de mettre la physique naturelle au tableau de chasse contre les virus et contre les cancers.