C’est l’un des objectifs des trois réacteurs du nouveau monde que je vous propose.
Ces réacteurs comportent tous les éléments nécessaires à maintenir l’activité de nos entreprises et à inciter le retour des entreprises qui sont parties par nécessité. Elles ne sont pas parties de gaîté de cœur, elles sont parties parce qu’elles n’étaient plus compétitives et parce que le marché l’imposait.
La France redeviendra, en matière sociale, économique et sanitaire, celle qu’elle aurait dû toujours être et rester. Ce sont les événements qui l’on détruite.
Ce sont aussi les Français qui l’ont détruite en choisissant la facilité. La France se doit de continuer à rayonner dans le monde. En laissant partir nos industries, la France a perdu sa qualité de production.
Il en est de même dans le médical.
Les mandarins ne sont pas partis, ils ont fait fortune en France sans avoir apporté ce que la France attendait d’eux.
C’est par la production que l’on financera le social. Ce n’est pas sur le travail mais sur le produit que viendra la solution.
Les entreprises, les investisseurs, reviendront à nouveau dans notre pays et la mondialisation ne sera plus qu’un épiphénomène. C’est comme tout : il faut le vouloir, et les politiques n’ont pas fait ce qu’ils devaient faire ; ils ont protégé leur statut, leurs revenus, en laissant mourir la France.
La moitié des entreprises françaises est aujourd’hui sous la tutelle des fonds de pension. C’est à nous d’y apporter le remède, et le remède, c’est d’abord le travail, mais un travail assaini de toutes ses charges.
C’est ainsi que nous pourrons accroître notre pouvoir d’achat.
Sans PIB prospère, il n’y aura pas de pouvoir d’achat.
Cela va probablement nécessiter les efforts de tous mais surtout des efforts de compréhension et peut-être, provisoirement des efforts de réalisation.
Il faudra prendre davantage de risques, en commençant par nos politiques qui ont peur de leur ombre et surtout de ne pas être réélus.
Les Français ne sont pas idiots, ils savent reconnaître le bien du mal et qu’on n’arrive à rien sans effort.
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